En août 1745, des uhlans de la Brigade Blanche du Maréchal DE SAXE passent à Oleye et s’y livrent à des dégradations et pillages.
Le mayeur du village est LEJEUNE Gilles-Jean-François.
En août 1745, des uhlans de la Brigade Blanche du Maréchal DE SAXE passent à Oleye et s’y livrent à des dégradations et pillages.
Le mayeur du village est LEJEUNE Gilles-Jean-François.
En (?), DE DURAS Otton (petit-fils de DE LOOZ Otton et de DE DURAS Ode ?) enlève du bétail dans le village de Berloz et ordonne de le conduire dans sa villa de Waremme (de Corswarem ?).
Dans la nuit du 25 au 26 mars 2014, des voleurs pénètrent dans les locaux du Service de la Voirie de Waremme, installée dans l’ancienne caserne des pompiers, et dérobent du matériel pour une valeur estimée à 50.000 euros, qu’ils emportent avec la camionnette et la remorque du service. La camionnette sera retrouvée à Fexhe-le-Haut-Clocher.
Le responsable du Service de la Voirie est SARTOR Joseph.
Dans la nuit du 19 au 20 avril 2012, les 4 malfrats:
pénètrent dans l’habitation d’un couple de Wasseiges et les rossent, devant leur bébé de 10 mois. Ils pensent à tort que l’épouse est gérante de banque. Finalement, ils emportent la voiture de la famille et des armes trouvées dans la maison. Finalement pris et condamnés, ils écoperont de 12 à 14 ans de prison.
En 1939, avant la Deuxième Guerre Mondiale, il y a environ 12.000 cloches en Belgique, pour un poids total évalué à 6 millions de tonnes.
Fin juillet 1944, les cloches dépendues et enlevées par les Allemands représentent un poids de 3.794.825 kilos (tonnes ?). Les travaux de remplacement de ces cloches seront subventionnés par l’Etat.
Le 27 août 2020, le patron de la bijouterie « Vogue » de Waremme, DEBATISSE François, met en ligne la vidéo du vol à l’étalage qu’il vient de subir et en fait un jeu-concours.
Le 8 mai 1779, HAUTECLAIR Joseph, dit « Le Pêcheur », s’introduit dans la demeure du sieur VIGOUREUX à (Fize ?) Fontaine, et y dérobe quelques vêtements et objets. Il sera condamné par la cour de justice de Jeneffe à être pendu et étranglé à une potence, jusqu’à ce que mort s’en suive.
En 1694, les troupes françaises campent à Hodeige. Des soldats logent dans l’église et y commettent toutes sortes d’excès: ils brisent les armoires de la sacristie, ainsi que la grande porte de l’église. Les fermiers du village, surtout les locataires, sont les plus à plaindre. Ils sont partiellement ou totalement ruinés par le séjour des troupes.
En 1648, la Paix de Wesphalie met fin à la Guerre de Trente Ans. Néanmoins, les hostilités continuent entre la France et l’Espagne. DE LORRAINE Charles, qui n’a plus que ses troupes et qui ne sait pas comment les nourrir, se jette alors sur la Principauté de Liège et y vit, principalement en Hesbaye, aux dépens des habitants. Il y exercera ses ravages jusqu’en 1654, notamment à Waremme et dans les villages voisins.
Le 18 juillet 1636, le Chapitre de Saint-Lambert de Liège fait part, aux Trois Etats réunis, des exactions commises par les troupes de DE WEERT Jean:
« Pendant l’espace de 4 mois et davantage, la gendarmerie de DE WEERT Jean et d’autres associés a exercé dans le pays tous actes d’hostilité, toutes sortes de cruautés, perfidies, sacrilèges, meurtres, oppressions, concussions, rapines, voleries, brandschats, violations très infâmes de femmes et filles, et commis une infinité d’autres actions très exécrables et tyranniques et plus que barbares. Elle a en outre bouté le feu et réduit en cendres des villes et plusieurs villages entiers avec beaucoup de milliers de maisons; pillé et brulé un grand nombre d’églises et de monastères, déchassé par le plat pays les pasteurs et gens d’église, fait cesser l’office divin et contraint, selon que l’on tient, plus de 10.000 personnes de se retirer de ce pays catholique aux provinces de la religion contraire, avec danger d’y perdre corps et âmes, et même, chose horrible, foulé au pieds, en plusieurs lieux, le très auguste et Saint Sacrement de l’autel. »