Le 13 septembre 1923, VANDERLINDEN Henri voit le jour à (?). Il sera gendarme à Waremme.
Archives de catégorie : Gendarmerie
Henri Vanderlinden, gendarme (Waremme)
Le 19 octobre 1953, VANDERLINDEN Henri est affecté à la gendarmerie de Waremme.
Henri Vanderlinden, retraité (Waremme)
Le 1er octobre 1979, le 1er Maréchal des Logis VANDERLINDEN Henri, de la gendarmerie de Waremme, prend sa retraite.
Mort de Julie Bosman (Waremme)
Le 20 août 1990, BOSMAN Julie décède à (?). Son mari veuf est THIRY Nestor, l’ancien commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme.
Naissance de Nestor Thiry (Huppaye – Waremme)
Le 8 octobre 1930, THIRY Nestor voit le jour à Huppaye (Ramillies ?). Il épousera BOSMAN Julie. Il habitera à Waremme. Il sera commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme.
Alfred Puffet, chef des gendarmes (Waremme)
En octobre 1954, l’adjudant PUFFET Alfred est nommé commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme. Il remplace l’adjudant GODARD Henri.
Henri Godard, chef des gendarmes (Waremme)
En 1951, l’adjudant GODARD Henri est nommé commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme. Il remplace l’adjudant MARECHAL Jules.
Jean Bertrand, chef de la gendarmerie (Waremme)
En 1950, le lieutenant BERTRAND Jean est nommé commandant du district de gendarmerie de Waremme. Il remplace à ce poste le sous-lieutenant GERARD Georges.
Changement à la gendarmerie (Waremme)
En 1948, le lieutenant BAEYAERT Marcel, qui commande le district de gendarmerie de Waremme, est remplacé par le sous-lieutenant GERARD Georges.
La Ville condamnée (Waremme – Liège – Allemagne – Etats-Unis)
Le 8 juin 1950, la Cour d’Appel de Liège condamne la ville de Waremme à payer 5.510.262 francs de dommages et intérêts à DOYEN Camille, en réparations des dommages causés par la population à la fin de la Première Guerre Mondiale.
La moitié de cette somme représente les intérêts depuis 1932, date à laquelle le Tribunal des Dommages de Guerre a débouté la famille DOYEN.
Devant la Cour, les « DOYEN » ont invoqué un décret du 10 Vendémiaire de l’An IV (le 2 octobre 1795) qui règle la police dans les communes. Ce décret stipule qu’en cas d’émeutes et de dommages, les autorités communales sont tenues pour responsables et doivent payer les dégâts occasionnés. DOYEN Camille a ajouté que le bourgmestre faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, n’a rien fait pour protéger ses établissements de la vengeance populaire.
La ville de Waremme, quant à elle, a déclaré que la gendarmerie n’était pas encore rétablie et que, par conséquent, il lui a été impossible de maintenir l’ordre. De plus, elle a insisté sur le fait que la population a été excitée par les soldats alliés présents. Or, ce même décret de 1795 prévoit que, si les émeutes ont été provoquées par des membres extérieures à la « communauté villageoise », les autorités communales sont dispensées de dédommager les victimes.