Les cloches de waremme sont réquisitionnées (Allemagne)

Le 15 septembre 1943, les trois cloches de l’église Saint-Pierre de Waremme, Elisabeth, Joséphine et Rosalie, qui avaient été baptisées en 1885, sont réquisitionnées par l’occupant allemand. Elles sont conduites dans l’ancien manège de la gendarmerie, derrière la Kommandantur.

Peu après, pour inviter les fidèles aux offices, on installera dans la tour de l’église, la petite cloche utilisée auparavant à la chapelle du collège Saint-Louis.

La Garde Rurale de Longchamps veille (Waremme)

Le 7 août 1942, la Garde Rurale de Longchamps met en déroute une bande sévissant dans une terre à blé. Après une courte poursuite, les maraudeurs reçoivent un procès-verbal de la gendarmerie.

Les gendarmes de Waremme luttent contre le marché noir

Le 24 avril 1941, la gendarmerie de Waremme réussit un beau coup de filet. Depuis un certain temps, une auto suspecte circulait de nuit. Les gendarmes l’interceptent et arrêtent quatre individus qui abattaient des bêtes dans les étables et se livraient au marché noir à grande échelle.

Les gendarmes rejoignent l’armée (Waremme)

Le 11 (12 ?) mai 1940, dans la soirée, les gendarmes de la caserne de Waremme tentent de rejoindre l’armée belge en campagne. Montés sur leurs chevaux, le fusil en bandoulière, ils s’éloignent vers l’ouest. La brigade est composée de:

  • MARECHAL Jules
  • GIGOT Arthur
  • DE BARQUIN Marcel
  • LEVAQUE Frantz
  • LEBON Gilbert
  • GERARD Omer
  • PIRLOT Firmin
  • WALGRAFFE Adelin
  • VOUE Auguste
  • DELCHAMBRE Bernard

Un aviateur belge abattu se dirige vers Waremme

Le 11 mai 1940, alors que l’aviation belge tente de détruire les ponts de Vroenhoven et de Veldwezelt qui n’ont pas sauté, le Gloster Gladiator du capitaine GUISGAND, est mis à mal par des Messerschmitt Me 109 allemands. Il doit se poser en catastrophe dans la campagne de Faîmes, dans le champs de betteraves du fermier VANDERMEIR Georges, sous les yeux de HUMBLET Camille, son fils HUMBLET Hubert et du domestique SEBA Joseph, qui répandent de l’engrais sur le champs d’avoine « HUMBLET ».

Ils le voient sauter de l’appareil, couvert d’huile et blessé au visage. Il prend ensuite calmement la direction de Waremme. Là, il se rend à la gendarmerie, d’où il téléphone à l’état-major de son escadrille, à Beauvechain.

Il se rend ensuite à la pharmacie « GIELEN » où on lui donne des compresses pour ses blessures au visage. Sur les conseils du pharmacien, il va prendre un petit-déjeuner à l’Hôtel « LAVAL », en face de la gare. Il y attend le véhicule de maintenance de son escadrille.

La brigade de gendarmerie de Waremme

Le 28 juin 1936, la brigade de gendarmerie de Waremme est notamment composée de:

  • DE BARQUIN Marcel, maréchal des logis
  • MIECRET Georges, maréchal des logis
  • BOZART, 1er chef
  • GIGOT Arthur, maréchal des logis-chef

Les gendarmes de Waremme rejoignent l’armée

Le 9 août 1914, la gendarmerie de Waremme va rejoindre le corps d’armée. Il n’y a plus dans la ville que l’un ou l’autre soldat attardé.

Les gendarmes ne sont pas toujours de bons cyclistes (Belgique)

Le 18 février 1893, une circulaire ministérielle autorise l’utilisation de la bicyclette par les gendarmes. L’autorisation d’utiliser un vélo peut être retirée par les chefs de corps « aux gendarmes qui ne se serviraient pas d’un appareil convenable, avec une habileté suffisante ».

La Gendarmerie s’installe dans sa nouvelle caserne (Waremme)

En 1871, la gendarmerie s’installe dans ses nouveaux bâtiments de la Place de la gendarmerie à Waremme.

Construction de la Caserne de Gendarmerie (Waremme)

En 1870, la caserne de gendarmerie est construite en bordure de la place centrale qui portera son nom (elle sera rebaptisée Place du Roi Albert 1er en 1935. Cette caserne comporte essentiellement quelques logements et une écurie. Le cheval restera le principal moyen de locomotion du gendarme, jusqu’en 1925.