En 1860, les bâtiments de l’ancien Couvent des Sépulchrines sont partiellement occupés par d’autres religieuses, les Dames de la Sainte-Union de Douai, qui poursuivent l’œuvre des Filles du Saint-Sépulchre (Les religieuses ont été empêchées d’enseigner, sous le régime français, lors de la Révolution). Une autre partie des bâtiments est occupée par l’école communale et par la gendarmerie.
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Le brigadier Delbouille (Waremme)
En 1837, Monsieur DELBOUILLE est brigadier à cheval de la gendarmerie, à Waremme.
Le brigadier Ghislain (Waremme)
En 1836, le chef de la brigade de gendarmerie de Waremme est le brigadier à cheval GHISLAIN.
La gendarmerie de Waremme
Vers 1830, la caserne des Maréchaussées de Waremme (gendarmerie) se situe rue du Perron.
La Plan « Levarlet » (Waremme)
En 1828, le géomètre LEVARLET J. H. dresse le plan cadastral de la ville de Waremme et de ses hameaux.
Sur ce plan, on constate que le couvent des Récollets s’étend jusqu’au Geer. Il possède un cloître et une chapelle assez vaste, si on la compare à l’Eglise paroissiale Saint-Pierre. L’ancien couvent des Sépulchrines, quant à lui, est occupé par la gendarmerie et l’école communale.
Les prêtres réfractaires sont poursuivis dans la région ( Waremme)
En juillet 1797, la gendarmerie est avertie qu’un prêtre étranger fait les fonctions de curé à Hollogne-sur-Geer et à Grand-Axhe. Elle se rend sur place pour arrêter le réfractaire. Mais au moment de procéder à l’arrestation, les villageois deviennent menaçants. Le président de la municipalité de Waremme, DELAHAUT François, présent sur les lieux, persuade les gendarmes de laisser s’échapper le malheureux prêtre.