En 1605, RIGAULT est capitaine de la milice locale de Hemricourt (garde civique).
Archives de catégorie : Milice rurale
La patrouille de Longchamps (Waremme)
Le 29 novembre 1845, une patrouille est organisée à Longchamps par DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond et DEWONCK Jean-Lambert.
Elle est composée de 20 chefs volontaires, servant deux à deux, et de 20 ouvriers indigents célibataires, soldés à 50 centimes. On leur donnera en outre 3 verres de genièvre par nuit. L’ancienne maison de GHAYE Michel sert de corps de garde.
Les Croates écrasent les milices hesbignonnes
Le 26 février 1636, les milices de Fexhe et de Slins tentent d’arrêter la troupe de 4.000 croates de DE WEERT Jean, mais elles sont taillées en pièces.
Ces Croates ont été appelés par DE BAVIERE Ferdinand, au mépris de la législation liégeoise et des clauses de neutralité, pour mettre au pas les révolutionnaires liégeois qui veulent faire de Liège une ville libre impériale.
Création de milices rurales (Liège)
En 1518, le Prince-Evêque DE LA MARCK Erard met sur pied une véritable « Milice d’Etat », pour poursuivre et arrêter les mauvais garçons qui passent la frontière, détroussent les marchands et brûlent les fermes. Il enrôle tous les hommes valides de 18 à 60 ans, qui constituent, à travers le pays, une force potentielle de 6000 défenseurs.
Avec leurs armes de fortune, ils sont chargés, à l’appel des officiers du Prince, d’assurer la sécurité de leur village, de leur région, voire de participer à la défense des frontières en cas d’attaque du pays.
Ces milices rurales, armées de bric et de broc, jouent un rôle non négligeable dans la protection et le maintien de la sécurité locale. Elles peuvent même tenir en respect ou jouer un effet dissuasif sur une troupe de mercenaires pas trop nombreuse et pas trop motivée.
Des gardes ruraux peu scrupuleux (Waremme)
Le 10 août 1942, le chef des patrouilleurs de Waremme constate que certains abandonnent leur poste avant l’heure.
La Garde Rurale de Longchamps veille (Waremme)
Le 7 août 1942, la Garde Rurale de Longchamps met en déroute une bande sévissant dans une terre à blé. Après une courte poursuite, les maraudeurs reçoivent un procès-verbal de la gendarmerie.
Accrochage avec des voleurs de grains (Waremme)
Le 20 juillet 1942, des patrouilleurs de Waremme interceptent des voleurs de seigle. Ceux-ci leur jetent des pierres, avant de prendre la fuite.