Joseph Marchoul, soldat (Waremme – Celles)

En mai 1940, le Waremmien MARCHOUL Joseph est caporal à la 8ème Compagnie du 12ème Régiment de Ligne. Il est caserné à Retinne.

Il sera plus tard garde-champêtre à Celles.

Il faut ramasser les armes (Waremme)

Le 13 mai 1940, le bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume, charge le garde-champêtre, VANDEVELDE Charles, dit « Tchâle li Garde », de ramasser les armes et autres objets militaires, retirés aux prisonniers, qui jonchent les rues de la ville et principalement la rue Joseph Wauters. A l’aide d’une charrette à bras, celui-ci les rassemble dans la cour de l’Ecole Moyenne.

Alexandre Salmon, garde-champêtre (Hollogne-sur-Geer)

En janvier 1940, SALMON Alexandre est garde-champêtre à Hollogne-sur-Geer. Il habite une maison située près de la gare du Vicinal. Sa soeur, SALMON Yvonne, est infirmière.

Camille Vanelderen (Waremme)

En janvier 1940, VANELDEREN Camille habite la rue de Sélys-Longchamps à Waremme. Il y sera commissaire de police.

Charles Vandevelde, garde-champêtre (Waremme)

En janvier 1940, VANDEVELDE Charles, dit « Tchâle li Garde » est garde-champêtre à Waremme.

Des habitants de Viemme mobilisés

Le 10 mai 1940, le garde-champêtre de Viemme, JACQUE Jules, dit « Minik », fait le tour du village pour apporter des « Ordre de rejoindre » à:

  • BRUGMAN Lambert
  • DEVALET Félicien
  • ORBAN Arthur
  • MINSTER Adrien

Tensions à l’Hôtel de Ville (Waremme)

Le 7 septembre 1944, en pénétrant à l’Hôtel de Ville de Waremme, les Résistants de l’Armée Secrète (AS), MOUREAU Edmond et GODBILLE Maurice, y trouvent quelques membres du Front de l’Indépendance (FI) qui les ont précédés:

  • GAUNE François
  • DERYDT Alfred
  • RENKIN André

Il y a des divergences de vue entre les deux organisations de Résistants.

Les membres du Front de l’Indépendance veulent une répression impitoyable et immédiate des traitres et des collaborateurs, alors que les membres de l’Armée Secrète veulent avant tout réinstaller l’autorité qui existait en mai 1940, c’est-à-dire le bourgmestre JOACHIM Guillaume. Les membres du Front de l’Indépendance déclarent que celui-ci a collaboré avec l’Occupant et qu’il doit être démis. Pour eux, le seul représentant de l’autorité doit être le commissaire HARDY Camille, qui a refusé toute collusion avec les Allemands, dès le début de l’Occupation.

Il faut mettre les biens des sinistrés à l’abri (Waremme)

Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, les jeunes de la section locale de l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre (ARFEG) travaillent sous la surveillance de WEBER Jean-Baptiste.

Il décide d’entreposer les meubles et les objets de valeur, des immeubles touchés par les explosions, dans les locaux de l’ancienne centrale électrique. En raison de la tombée de la nuit, ce travail sera surtout effectué le lendemain.

En attendant, des gardes-champêtres et des gendarmes surveillent la zone sinistrée.