Naissance de Léon Berger (Waremme – Celles)

Le 22 juin 1913, BERGER Léon voit le jour dans le quartier de « La Folie » à Celles. Il fera ses études à l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme. Il y sera instituteur. Il sera Résistant durant la Seconde Guerre Mondiale, lieutenant de l’Armée Secrète (A.S.). Il portera le pseudonyme de « Célestin ». Il sera membre du Groupe Solidarité PSB, qui aidera les réfractaires traqués par la police allemande.

Lucien Peters, commissaire (Waremme)

Après le 10 mai 1940, PETERS Lucien est nommé commissaire de police de Waremme. Il remplace HARDY Camille, qui refuse de collaborer avec l’occupant allemands.

Camille Hardy, commissaire (Waremme)

En 1939, le chef de la police de Waremme est HARDY Camille. C’est un homme de haute taille, à la carrure impressionnante.

Lors de la Première Guerre Mondiale, il a refusé de travailler sous la férule de l’occupant allemand.

Jules Linotte, réquisitionné (Waremme)

Le 22 juin 1943, LINOTTE Jules-Désiré-Antoine reçoit l’ordre de réquisition, signé par le bourgmestre de Waremme, de se mettre à la disposition du commissaire de police, le 27 juin 1943 à 21 heures, pour surveiller les plantations de GERITS Albert.

Infractions routières (Crisnée)

En novembre 2015, le radar mobile de la commune de Crisnée contrôle 772 véhicules, dont 31 en infraction. Le radar fixe de la Chaussée Verte contrôle 18.211 véhicules, dont 83 en infraction.

Les peines de Daniel François et d’Alain Michelet sont définitives (Waremme)

Le 9 décembre 2015, la Cour de Cassation rejette les pourvois introduits par le Chef de la Zone de Police de Hesbaye, FRANCOIS Daniel, et par son adjoint, MICHELET Alain, contre la condamnation qu’ils ont encourue dans le cadre de l’affaire de suicide de leur subordonnée, la policière KOCH Sandra.

 

RAPPEL DES FAITS

Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.

Le Tribunal Correctionnel de Liège, statuant en première instance, a condamné FRANCOIS Daniel à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.

Ce jugement a été confirmé par la Cour d’appel de Liège, qui a ajouté que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges ont précisé que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats ont considéré que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.

Si la peine de prison avec sursis a été maintenue par la Cour d’Appel, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes a amené la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.

Cette sanction est maintenant définitive.

 

MAIS DANIEL FRANCOIS N’EN A PAS TERMINE

Entre l’arrêt de la Cour d’Appel et la décision de la Cour de Cassation, MICHELET Alain a pris sa retraite, échappant ainsi aux sanctions administratives qui n’auraient pas manqué de s’abattre sur lui, à l’issue du rejet du pourvoi par la Cour de Cassation. Par contre, FRANCOIS Daniel (plus jeune), en arrêt maladie, depuis la condamnation en première instance (!), est dans l’attente des sanctions qui devraient découler de la procédure disciplinaire lancée contre lui par le Ministre de l’Intérieur (procédure gelée dans l’attente de la décision de la Cour de Cassation).

Les sanctions possibles sont (de la plus légère à la plus lourde):

  • l’avertissement,
  • le blâme,
  • la retenue de traitement,
  • la suspension par mesure disciplinaire (de maximum trois mois),
  • la rétrogradation dans l’échelle de traitement,
  • la démission d’office,
  • la révocation (celle-ci fait perdre à l’intéressé sa qualité de membre du personnel, entraînant de lourdes conséquences au niveau de la pension).

 

 

« Hermes » arrête des voleurs (Waremme)

Dans la nuit du 25 au 26 juin 2015, la nouvelle section vol « Hermes » de la zone de police de Hesbaye surprend 4 Roumains en flagrant délit de vol de mazout, dans l’enceinte de l’entreprise « Waremme Béton », installée dans le zoning industriel de Waremme.

Le premier conseil communal présidé par Charles Lejeune (Waremme)

Le 14 février 1895, le bourgmestre de Waremme, LEJEUNE Charles, préside son premier conseil communal.

Deux conseillers communaux refusent de voter une prime de 250 francs au commissaire de police de la ville:

  • RENIER Eugène, peintre, car le commissaire lui a délivré un procès-verbal pour être resté trop tard au café;
  • DUPONT-BOUX Gisbert car le commissaire gène les combats de coqs (pourtant interdits par la loi).