Contrôleur de vitesse (Waremme)

Le 28 juin 1982, le conseil communal de Waremme décide d’acquérir un contrôleur de vitesse pour la police communale. Au départ, cet appareil n’aura qu’un rôle préventif.

Le coût est estimé à 105.000 francs.

De nouveaux policiers à Waremme

En 1982, les nouvelles recrues de la police de Waremme sont:

  • FOLLIN J.
  • CAWEL M.
  • LANCELLE M.
  • TANCREDI A.
  • LENAERTS P.
  • VAN DE WOUWER A.

Le corps de police de Waremme compte 17 membres.

Christian Persain, commissaire ff (Waremme)

En novembre 1981, PERSAIN Christian assure les fonctions de commissaire de police de Waremme, suite à la révocation de BERTRAND Alexis.

Christian Persain, commissaire-adjoint (Waremme)

Le 1 juillet 1980, PERSAIN Christian entre à la police de Waremme en qualité de commissaire-adjoint.

Christian Persain, inspecteur principal (Liège)

En 1978, PERSAIN Christian est diplômé des cours d’officier de police et de sciences administratives, ce qui lui permet d’accéder au grade d’inspecteur principal.

Il assurera cette fonction pendant 2 ans, au commissariat d’Outremeuse à Liège.

Christian Persain, policier (Liège)

En 1971, PERSAIN Christian entre à la police de Liège, comme agent à « Police Secours ».

Le brigadier Lombet révoqué (Waremme)

Le 10 mai 1982, le conseil communal de Waremme révoque le brigadier principal LOMBET, à l’unanimité et après l’audition de l’intéressé.

Christian Persain, commissaire (Waremme)

En mai 1982, PERSAIN Christian est désigné commissaire de police de Waremme, par Arrêté Royal.

A 32 ans, il est un des plus jeunes commissaires de belgique.

Engagement d’Alain Van de Wouver (Waremme)

Le 29 mars 1982, le conseil communal de Waremme décide la nomination du nouvel agent de police communal, VAN DE WOUVER Alain.

Daniel François et Alain Michelet condamnés pour harcèlement et traitement dégradant (Waremme – Liège)

Le 16 mai 2014, le tribunal correctionnel de Liège condamne le commissaire FRANCOIS Daniel à une peine de 12 mois de prison, avec un sursis de 3 ans et le commissaire MICHELET Alain, à une peine de 10 mois de prison, avec un sursis de 3 ans pour harcèlement et traitement dégradant à l’égard de KOCH Sandra.

Les deux hommes sont acquittés de la prévention de faux en écritures, qui portait sur le classement abusif de procès-verbaux (PV) et la réattribution de numéros de PV existants. Le Tribunal estime qu’il n’y a pas eu n’analyse sérieuse du système informatique de la police de Waremme. Analyse qui, seule, aurait permis de confirmer cette prévention. Le Tribunal déclare donc la prévention non établie.

Les deux hommes sont également acquittés des préventions de coups et blessures involontaires et d’homicide involontaire sur la personne de KOCH Sandra. Le Tribunal estime que si le harcèlement et les traitements dégradants sont bien établis, il subsiste un doute quant au lien entre ceux-ci et les évènements tragiques qui se sont déroulés en 2011 et 2012. Ce doute est lié à la fragilité psychologique de KOCH Sandra.

Pour mémoire, cette dernière, agent de quartier au sein de la zone de police de Hesbaye, a tué sa fille et tenté de tuer son fils, le 11 novembre 2011, avant de mettre fin à ses jours, un an plus tard, à la prison de Lantin. Lors de ses interrogatoires, elle a affirmé avoir été  harcelée par ses supérieurs.