Claudine Lewillon retrouvée morte (Waremme)

Le 14 décembre 2013, le corps de LEWILLON Claudine, née en 1954, est découvert rue de Huy à Waremme, dans une impasse en face du parking du magasin Maximum. Le SMUR de la clinique Notre-Dame ne peut que constater le décès.

Le chef de la zone de police Hesbaye, DEBROUX Jean-Marie, déclare qu’il s’agit d’une mort violente, un coup de couteau à l’abdomen.

Un investissement de 350.000 euros aux « Petits Gravelots » (Waremme)

Le 16 septembre 2013, le Conseil Communal de Waremme annonce l’aménagement du site des « Petits Gravelots », situé dans le zoning industriel, à côté du parc à conteneurs.

Une dalle de 350.000 euros devrait y être réalisée, afin de se mettre en ordre avec les injonctions de la police de l’environnement.

Joseph Bologne récupère le mayorat de Liège

Le 6 septembre 1944, vers 16 heures, le bourgmestre de Liège, BOLOGNE Joseph , réintègre « La Violette », sous la protection de la police liégeoise. Des troupes allemandes sont encore dans la ville, retranchées de l’autre côté du Pont des Arches, détruit.

Suppression de la « Haute Police » en Belgique

Le 22 octobre 1830, le Gouvernement provisoire proclame, par arrêté, la suppression de la « Haute Police ».

Sandra Koch interrogée par le « Comité P » (Waremme)

Le 24 avril 2012, deux inspecteurs du « Comité P » interrogent KOCH Sandra, à la prison de Lantin, où elle est incarcérée pour avoir tué sa fille et tenté de faire de même avec son petit garçon.

Ils ne l’interrogent pas dans le cadre du dossier judiciaire, mais afin de déterminer si d’éventuels actes arbitraires n’ont pas été commis au sein de la zone de police de Hesbaye.

KOCH Sandra affirme avoir subi des pressions de la part de ses supérieurs. Elle donne des exemples précis, des dates, cite des noms de commissaires, de collègues policiers, mais aussi de personnes connues sur la place de Waremme. Tous coupables, à ses yeux, de connivence afin de faire sauter les procès-verbaux. Pour KOCH Sandra, » il est clair qu’il y a des demandes d’intervention de classement sans suite de personnes provenant de Waremme, parce qu’elles savent qu’il est donné suite à leur demande. Les habitants de Waremme savent qu’il y a moyen d’échapper à la sanction ».

Au long de cet entretien, la question de « faire sauter les PV » semble hanter la policière waremmienne. Elle explique en détail comment utiliser le système informatique afin de faire disparaître des PV. Elle déclare que « par tranquilité », des collègues préfèrent ne plus en rédiger (certains ne rédigent d’ailleurs aucun PV de roulage sur une année).

KOCH Sandra n’a pas hésité à faire des copies de PV, voire à ramener des originaux chez elle. Elle déclare l’avoir fait parce qu’elle ne voulait pas qu’ils disparaissent et qu’elle voyait bien la manière dont les choses tournaient.

Un jour, un vendredi 25 février, elle a verbalisé pratiquement toute la rue Zénobe Gramme, car tout le monde était infraction, « de sorte qu’il n’y avait pas deux poids, deux mesures ». Elle s’est montrée intransigeante et cela a provoqué le courroux des riverains. Le chef de corps a classé sans suite ces 15 PV.

Elle déclare que c’est suite à son accident du travail que les relations avec ses supérieurs se sont réellement dégradées. Avant cela, ils lui avaient fait des remarques, mais pas sur son travail en tant que tel.

Elle déclare que c’est cette pression qui l’a amenée à commettre son geste tragique du 11 novembre. Elle n’a pas voulu que sa situation professionnelle anéantisse sa vie familiale.

Sandra Koch reçoit une évaluation négative (Waremme)

Le 17 octobre 2011, le commissaire MICHELET Alain remet à KOCH Sandra un document qui conclut à une évaluation négative. Elle est motivée par une problématique d’ambulance.

Daniel François et Alain Michelet au Tribunal (Waremme – Liège)

Le 15 novembre 2013, la 8ème chambre du Tribunal Correctionnel de Liège examine le dossier à charge de FRANCOIS Daniel, chef de corps de la zone de police de Hesbaye, et de son adjoint, le commissaire MICHELET Alain, poursuivis pour faux en écritures, harcèlement, traitement dégradant et pour avoir involontairement causé la mort de KOCH Sandra. KOCH Sandra, agent de quartier au sein de la zone de police de Hesbaye, a tué sa fille et tenté de tuer son fils le 11 novembre 2011, avant de mettre fin à ses jours un an plus tard. Lors de ses interrogatoires, elle a affirmé avoir subi des pressions de la part de ses supérieurs.

L’audience est très suivie, la salle est comble et les journalistes sont en nombre. Les trois magistrats sont des femmes. L’instruction d’audience est menée par le juge DECOQ Isabelle. Le commissaire MICHELET cache son visage devant les caméras et l’avocat de FRANCOIS Daniel demande que celui de son client soit « flouté » dans les médias. Une dizaine de témoins ont été convoqués par le Ministère Public, mais tout le dossier ne sera pas abordé lors de cette première audience. Parmi les témoins convoqués, COEME Guy, ancien bourgmestre de Waremme et ancien président de la zone de police de Hesbaye, et GOFFIN Philippe, bourgmestre de Crisnée, où KOCH Sandra a travaillé, quelques jours avant le drame. Le mari de KOCH Sandra se constitue partie civile en son nom personnel et au nom de son fils. FRANCOIS Daniel est toujours en incapacité de travail.

Le Tribunal examine la procédure d’évaluation de KOCH Sandra, qui s’est soldée par une note négative. Cette procédure a-t-elle été respectée ? Le Tribunal constate qu’il n’y a pas eu d’objectifs fixés et qu’il n’y a pas eu d’entretien préalable avec KOCH Sandra. Son évaluateur, MICHELET Alain, lui a reproché de trop verbaliser et de le faire à mauvais escient. L’avocat de la défense précise qu’elle a, notamment, dressé 34 « PV » en 24 jours de travail. MICHELET Alain précise qu’il n’était pas possible de « discuter » avec KOCH Sandra.

Le responsable des agents de quartier a signalé des retards dans le travail de KOCH Sandra. En fait, elle a été en arrêt maladie durant 5 mois, à la suite d’une rupture des ligaments qui a nécessité de la plâtrer. MICHELET Alain déclare que c’est un peu dommage de prendre autant de temps pour une entorse. FRANCOIS Daniel ajoute que, pendant cette période d’arrêt de maladie, elle s’est rendue en vacances sur la Côte d’Azur. La Présidente du Tribunal remarque qu’elle avait l’autorisation des médecins de sortir de son domicile et de partir en vacances. FRANCOIS Daniel a enquêté pour savoir si la caravane de KOCH Sandra a été louée avant ou après son accident de travail. MICHELET Alain déclare que la voir se promener en ville avec ses enfants, pendant que les autres travaillent, a entraîné une tension énorme. FRANCOIS Daniel et COEME Guy ont parlé du « Cas Sandra Koch » à la buvette du stade de football et COEME Guy aurait déclaré qu’il ne voulait plus voir KOCH Sandra à Waremme.

Le 17 octobre 2011, MICHELET Alain remet à KOCH Sandra un document qui conclut à une évaluation négative, motivée par une problématique d’ambulance ! Pour mémoire, KOCH Sandra avait reçu une évaluation positive en 2010, établie par un autre évaluateur. FRANCOIS Daniel déclare que KOCH Sandra méritait cette évaluation négative, mais « qu’on » voulait lui donner une seconde chance. C’est pour cela qu’il l’a mutée à Crisnée et que le Collège de Police a entériné sa décision. Il a exposé aux deux bourgmestres les raisons qui ont motivé MICHELET Alain à conclure la procédure par une évaluation négative.

La veille du drame, KOCH Sandra a appris qu’elle devrait effectuer 3 prestations de garde, sur les 4 des fêtes de fin d’année, ce qui l’a dépitée. FRANCOIS Daniel précise qu’il manquait de personnel à ces dates, mais que personnellement, il n’ l’avait désignée que pour une de ces prestations et qu’il n’était pas au courant pour les deux autres.

La première journée d’audience se termine. Les autres témoins seront entendus le 7 février 2014. La prochaine séance est fixée à vendredi prochain.

Sandra Koch se suicide (Waremme – Stoumont)

Le 7 décembre 2012, l’ancienne policière de Waremme, KOCH Sandra, âgée de 38 ans,  se suicide dans sa cellule du quartier des femmes de la prison de Lantin. Elle y est enfermée pour avoir tué un de ses enfants âgé de 15 mois et blessé gravement un autre âgé de 4 ans, en novembre 2011 dans les bois de Stoumont. Dès après les faits, elle avait déjà tenté de se suicider en s’immolant par le feu.

Elle avait été reconnue irresponsable de ses actes au moment des faits et était en attente de placement dans une maison de soins psychiatriques.

 

Le commissaire FRANCOIS Daniel fait l’objet d’une plainte pour harcèlement.

Accident à Waremme

Le 2 décembre 2012, un Waremmien de 49 ans, ivre, heurte le dispositif ralentisseur rue d’Oleye. Vu son état, la police lui retire son  permis de conduire.

Prestation de serment à Waremme

Conseil communal de waremme

Le 3 décembre 2012, les nouveaux conseillers communaux, échevins et bourgmestre prêtent serment, lors de la réunion du conseil communal de Waremme. COEME Guy cède le témoin à CHABOT Jacques retrouve son poste de bourgmestre. GERARD Albert devient échevin. A cette occasion, l’hôtel de ville est plein à craquer, à tel point qu’il faut installer un écran géant et des diffuseurs dans le hall d’entrée pour permettre au public, qui n’a pas pu accéder à la salle des mariages, de suivre la cérémonie.

Les membres du conseil de l’action sociale et du conseil de police sont ensuite désignés.

Après les prestations de serment, le bourgmestre célèbre le premier mariage de la législature, à 22 h. !, entre ECHTEN Viviane 49 ans) et GODECHAL Paul (70 ans).