Le 16 juin 1988, le commissaire de police de la ville de Waremme, BERTRAND Alexis, est révoqué pour la troisième fois de ses fonctions, par arrêté-royal. Les deux premiers actes de révocation ont été annulés par le Conseil d’Etat.
En novembre 1987, le Conseil d’Etat annule, à nouveau, l’arrêté de révocation du commissaire de police de Waremme, BERTRAND Alexis.
En octobre 1986, le député-bourgmestre de Waremme est COEME Guy, le secrétaire communal SERVAIS Robert, l’échevin des travaux LABY Henri, le commissaire de police PERSAIN Christian, le commandant des pompiers BURNAY Guy, le conducteur des travaux DAUTRELOUX Jacques.
En 1984, FOLLIN Josiane de la police communale de Waremme, s’occupe plus particulièrement des enfants dans des situations familiales délicates.
En janvier 1984, le Conseil d’Etat annule, pour vices de forme, l’arrêté de révocation du commissaire de police de Waremme, BERTRAND Alexis.
Ce dernier retrouve son titre, mais reste suspendu sans traitement.
La ville de Waremme se retrouve dans une position délicate:
Pour remédier à ce problème, le bourgmestre, LEBURTON Edmond, propose de créer un second poste de commissaire, étant entendu qu’un seul de ces postes serait effectivement occupé, puisque l’autre commissaire est suspendu. Au règlement définitif du problème, ce second poste de commissaire sera supprimé.
Fin janvier 1983, le Musée de Waremme, installé dans l’ancienne maison « Moës », acquise et rénovée par la commune, à deux pas de l’Hôtel de Ville, doit fermer ses portes.
Cet immeuble sera ensuite occupé par l’hôtel de police.
En 1981, FOLLIN Josiane est engagée comme agent de police de Waremme.
Le 1er octobre 1981, le commissaire de police de Waremme, BERTRAND Alexis, est suspendu et le paiement de son traitement est interrompu.
En 1979, ROBERT Raymond est engagé à la police communale de Waremme.
jacques mesrine
Le 2 novembre 1979, la police française abat MESRINE Jacques, « l ‘Ennemi Public n° 1 », en plein Paris.