Mort de Raymond Renard (Remicourt – Lys)

Le 27 mai 1940, RENARD Raymond, de Remicourt, perd la vie dans les combats que l’Armée belge livre aux Allemands, sur les berges de la Lys.

Mort d’Edouard Maquoi (Hodeige – Lys)

Le 27 mai 1940, MAQUOI Edouard, de Hodeige, perd la vie dans les combats que l’Armée belge livre aux Allemands, sur les berges de la Lys.

Mort de Dominique Vandesande (Hodeige – Lys)

Le 27 mai 1940, VANDESANDE Dominique, de Hodeige, perd la vie dans les combats que l’Armée belge livre aux Allemands, sur les berges de la Lys.

L’Armée belge se replie

Le 13 mai 1940, devant l’avancée allemande, l’Armée belge se retire sur l’Escaut, d’abord, sur la Lys, ensuite, où elle livre de durs combats.

Des « Panzers » à Remicourt

Le dimanche 12 mai 1940, au matin, le 36ème Régiment de « Panzers » traverse Remicourt, en direction de Celles et de Hannut.

Alphonse Roosen, infirmier (Momalle – Liège)

En mai 1940, ROOSEN Alphonse, de Momalle, est affecté à l’hôpital militaire Saint-Laurent à Liège, comme infirmier.

Mort d’Alphonse Roosen (Momalle – Lens-Saint-Remy)

Le 11 mai 1940, dès le début de l’invasion allemande, ROOSEN Alphonse, de Momalle (Remicourt ?), infirmier à l’hôpital militaire Saint-Laurent à Liège, est tué à Lens-Saint-Remy.

L’usine « Landrain » bombardée (Momalle)

Le 10 (11 ?) mai 1940, une bombe tombe sur l’usine d’engrais « LANDRAIN », près de la gare de Momalle.

Un avion abattu (Grandville)

Le 11 mai 1940, un bombardier français « Léo 45 », décolle de l’aérodrome de Clastres, près de Saint-Quentin, avec quatre membres d’équipage, pour aller bombarder les ponts du Canal Albert (Vroenhoven et Veldwezelt). Vers 18 heures, il touché par l’artillerie antiaérienne allemande, aux environs de Tongres. Il tente de faire demi-tour, mais il perd de l’altitude au-dessus d’Oreye. Deux membres de l’équipage parviennent à sauter en parachute:

(L’adjudant MOQUELET se tuera en tombant près de Grandville. L’opérateur radio, l’adjudant NATTA Maurice, s’en sortira quasi-indemne. Il sera fait prisonnier par les Allemands.)

L’avion vole tellement bas que son train d’atterrissage accroche les caténaires de la ligne de tramway. Il  s’écrase au carrefour « Ramkin », à Grandville, derrière le garage de FILIPPINI Jean.

(Le canonnier, le sous-lieutenant JAQUET périra sur le coup. Le pilote, le sous-lieutenant MOREL René s’en sortira gravement brûlé sur tout le corps. Sorti de l’épave, il sera transporté dans une maison du voisinage, chez GILLES Auguste, et soigné par la fille de la maison, GILLES Nelly, et le Docteur FANIELLE, de Liège, réfugié à Oreye. Il décèdera 2 jours plus tard.)

 

 

ramkin aviateurs français

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