Mort de Jacques Davignon (Bruxelles – Belgique – Allemagne)

Le 10 octobre 1965, le Vicomte DAVIGNON Jacques-Henri-Charles-François décède à Bruxelles. Il était l’ambassadeur de Belgique à Berlin, lors du déclenchement de la Seconde Guerre Mondiale. Il était veuf de la comtesse DE LIEDEKERKE Jacqueline-Elisabeth.

jacques davignon

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Naissance de Jacques Davignon (Bruxelles – Allemagne)

Le 15 février 1887, DAVIGNON Jacques-Henri-Charles-François voit le jour à Bruxelles. Il sera ambassadeur de Belgique à Berlin, lors du déclenchement de la Seconde Guerre Mondiale. Son père est DAVIGNON Julien.

Jacques Davignon, ambassadeur (Belgique – Allemagne)

En mai 1940, avant le déclenchement du conflit, le Vicomte DAVIGNON Jacques est ambassadeur de Belgique à Berlin.

C’est la liesse à Waremme

Le lundi 7 septembre 1944, c’est la joie à Waremme. La ville est libérée des Allemands par les Forces Alliées et la Résistance. On chante, on danse dans les rues, dans les cafés. On improvise un bal à la Maison du Peuple.

Jean Vandensavel, Résistant (Waremme)

En 1944, le Waremmien VANDENSAVEL Jean fait partie de la Compagnie « Etat-Major » du Groupe « Otarie ».

Des renforts pour les Résistants (Waremme)

Le 7 septembre 1944, après avoir posté ses hommes aux différents points stratégiques de Waremme, NELIS Gaston envoie un message au commandant REYNTENS Louis, à Les-Waleffes. Celui-ci décide d’envoyer à Waremme, en renfort, un peloton de la Compagnie 419.

LEBURTON Edmond désigne BAILLY Joseph pour prendre le commandement de la trentaine d’hommes qui composent ce peloton, la plupart sont des Waremmiens.

Les « Collabos » sont arrêtés (Waremme)

Le 7 septembre 1944, des Résistants patrouillent dans Waremme et arrêtent ceux que la rumeur publique qualifie de traitres ou de collaborateurs.

Ils sont conduits, sans ménagement, à l’Hôtel de Ville. Ils gravissent les marches du perron sous les huées d’une foule nombreuses et sont enfermés dans les sous-sols de l’immeuble.

Tensions à l’Hôtel de Ville (Waremme)

Le 7 septembre 1944, en pénétrant à l’Hôtel de Ville de Waremme, les Résistants de l’Armée Secrète (AS), MOUREAU Edmond et GODBILLE Maurice, y trouvent quelques membres du Front de l’Indépendance (FI) qui les ont précédés:

  • GAUNE François
  • DERYDT Alfred
  • RENKIN André

Il y a des divergences de vue entre les deux organisations de Résistants.

Les membres du Front de l’Indépendance veulent une répression impitoyable et immédiate des traitres et des collaborateurs, alors que les membres de l’Armée Secrète veulent avant tout réinstaller l’autorité qui existait en mai 1940, c’est-à-dire le bourgmestre JOACHIM Guillaume. Les membres du Front de l’Indépendance déclarent que celui-ci a collaboré avec l’Occupant et qu’il doit être démis. Pour eux, le seul représentant de l’autorité doit être le commissaire HARDY Camille, qui a refusé toute collusion avec les Allemands, dès le début de l’Occupation.

Florent Boden, Libérateur de Bettincourt

Le 7 septembre 1944, vers 16 heures, le peloton de reconnaissance américain du 66th Tank Regiment entre dans Bettincourt. BODEN Florent, dit « Le Blanc Boden » ou « L’Blanc », en fait partie. Il s’arrête pour aller embrasser ses parents.

Florent Boden à la Brigade Piron (Bettincourt – Belgique)

En 1942, le marin BODEN Florent, dit « Le Blanc Boden » ou « L’Blanc », natif de Bettincourt, rejoint la Brigade Piron. Son père est BODEN Ernest.