En septembre 1944, le Waremmien SAUWENS André fait partie du Groupe « Otarie ».
André Sauwens, Résistant (Waremme)
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Archives de catégorie : Guerres
Jean-Baptiste Thomas, Résistant (Waremme)
En septembre 1944, le Waremmien THOMAS Jean-Baptiste fait partie du Groupe « Otarie ». Il est le beau-frère de PEIGNEUX Alphonse.
Des armes à la Raffinerie (Oreye)
En septembre 1944, un stock d’armes de la Résistance est dissimulé à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye.
Jules Poelmans, boulanger « Résistant » (Waremme)
En 1944, POELMANS Jules est un membre actif de l’Armée Secrète (A.S.). Il exploite une boulangerie à la Porte de Liège, à Waremme.
André Snyers, Résistant (Waremme)
En septembre 1944, SNYERS André fait partie du Groupe « Otarie ». Il habite au n° 54 de la rue d’Oleye à Waremme. Son voisin immédiat est DAENEN Raymond.
René Renson, Résistant (Waremme)
En septembre 1944, RENSON René est l’adjoint du commandant du Groupe « Otarie », à Waremme.
André Beauduin, Résistant (Waremme)
En 1944, BEAUDUIN André fait partie du Groupe « Otarie ». Il habite au n° 13 de la rue d’Oleye à Waremme. Son épouse est SENY Marie. Ils sont surnommés « Monsieur et Madame Modeste »
On dégage les rues à Waremme
Le 2 septembre 1944, des hommes réquisitionnés s’activent à dégager l’entrée de la rue Gustave Renier et le carrefour avec la rue de Huy, à Waremme.
Les Allemands vont quitter Waremme
Le 2 septembre 1944, dans la matinée, le lieutenant de gendarmerie, JAMAR Ambroise, se rend à la Feldgendarmerie (qui s’est installée dans les locaux de la gendarmerie de Waremme), accompagné des gendarmes DE BARQUIN Marcel et DELVIGNE Louis. On lui a signalé que les « feldgendarmes » étaient sur le point de partir et qu’il faudrait éviter que des documents disparaissent après ce départ.
Déblaiement des ruines d’Hesbaco (Waremme)
Le 2 septembre 1944, les débris du bâtiment « Hesbaco », détruit lors du bombardement du centre de Waremme du 28 août dernier, sont transportés sur le tronçon de la Chaussée Romaine, compris entre la chapelle Saint-Eloi et le carrefour des Quatre-Bras, pour combler les profondes ornières laissées depuis des décennies par les véhicules agricoles.