En juin 1942, l’état-major national de l’Armée Secrète (AS) désigne REYNTENS Louis comme chef des maquisards de la région Waremme – Heers – Hannut.
Il a été commandant de la 9ème Compagnie des Chasseurs Ardennais à Vielsalm.
En juin 1942, l’état-major national de l’Armée Secrète (AS) désigne REYNTENS Louis comme chef des maquisards de la région Waremme – Heers – Hannut.
Il a été commandant de la 9ème Compagnie des Chasseurs Ardennais à Vielsalm.
Au début de 1941, le mouvement de Résistance « La Légion Belge » prend le nom de « Armée Secrète ».
Fin 1940, plusieurs Waremmiens iintègrent la Résistance, dans la « Légion Belge »:
En mai 1940, lors des combats sur la Lys, le Waremmien RENSON René, lieutenant au 12ème Régiment de Ligne, voit son casque frappé par une balle et son baudrier sectionné, alors qu’il porte secours à son ami HOVEN Henri.
En mai 1940, RENSON René, professeur d’histoire à l’Athénée de Waremme, participe à la « Campagne des Dix-Huit Jours », comme officier au 12ème Régiment de Ligne. Il se distingue lors des combats sur la Lys.
En novembre 1940, le bijoutier de Waremme, NELIS Gaston, rencontre à Liège le lieutenant RASSART, de Huy, afin de mettre sur pied un réseau de Résistance.
En 1940, les associations trop proches d’un parti politique, telles « Les Jeunesses Communistes » ou « Les Jeunes Gardes Socialistes », sont interdites par les Allemands.
En 1944, la section de Waremme de l’Aide et Reconstruction des Foyers Eprouvés par la Guerre (ARFEG) est dirigée par MUSCHART Marie-Louise. Elle recrute principalement ses membres parmi les scouts.
C’est un mouvement national, dont la mission est de mettre en lieu sûr le mobilier et les objets personnels de citoyens dont les biens sont mis en péril à la suite de bombardements.
En juin 1940, des volontaires mettent en place, au collège Saint-Louis de Waremme, un bureau de renseignements et un centre d’accueil pour les réfugiés qui reviennent de France.
Après le 10 mai 1940, PETERS Lucien est nommé commissaire de police de Waremme. Il remplace HARDY Camille, qui refuse de collaborer avec l’occupant allemands.