Naissance de Joseph Schepers (Waremme)

Le 5 mars 1920, SCHEPERS Joseph voit le jour à Waremme. Il épousera TITS Simone. Il sera prisonnier de guerre, en Allemagne, durant la Deuxième Guerre Mondiale.

Le Stalag 1A (Allemagne)

Le 28 mai 1940, le Waremmien SCHEPERS Joseph et d’autres prisonniers belges sont conduits du camp de transit de Bocholt, le Dulag VI F, au Stalag 1A, le plus oriental des camps de prisonniers de guerre.

Le Dulag VI F (Bocholt)

En mai 1940, le Waremmien SCHEPERS Joseph et d’autres prisonniers belges sont conduits à pied à la gare de Saint-Vith où ils sont entassés par 50 dans des wagons à bestiaux. Ils descendent à la gare de Bocholt. De là, ils sont amenés au camp de transit, le Dulag VI F.

Pour se rendre à ce camp, ils doivent traverser la ville, sous les huées de la foule. Ils sont couverts d’injures et de crachats.

Joseph Schepers, prisonnier (Waremme – Boncelles)

Le 17 mai 1940, le lendemain de sa fuite du Fort de Boncelles, le Waremmien SCHEPERS Joseph s’approche d’une maison isolée pour se renseigner et se ravitailler. Il est fait prisonnier par une patrouille motorisée allemande.

Le fort de Boncelles bombardé

Le 16 mai 1940, l’infanterie du Fort de Boncelles s’est retirée depuis quelques jours. En l’absence de DCA, l’aviation allemande bombarde le Fort. Les trois coupoles sont mises hors d’état. On dénombre les premières victimes parmi la garnison du Fort.

Le commandant de la place rassemble ses soldats et les exhorte par ces mots: « Me rendre, jamais ! ». Il demande 25 volontaires pour poursuivre le combat. Tout le  monde se propose. Il désigne les officiers et les sous-officiers, auxquels il adjoint quelques spécialistes. Il ordonne aux autres de s’échapper par la tour d’air, pour rejoindre l’armée.

Joseph Schepers, soldat (Waremme – Boncelles)

Le 31 janvier 1939, le Waremmien SCHEPERS Joseph est affecté au fort de Boncelles, sur les hauteurs de Seraing. Il porte le numéro matricule 2906577. Après son instruction, il prend les fonctions de cantinier.

L’église de Remicourt détruite

Le 12 janvier 1945, une bombe volante allemande « V1 » détruit partiellement l’église de Remicourt. Le clocher, la toiture et la voûte sont fortement endommagés. Les débris s’effondrent sur le mobilier de l’édifice.

Durant plusieurs mois, le curé de la paroisse, l’abbé HAUGEN Joseph, et des volontaires fouilleront les gravats pour récupérer un maximum d’objets. Ils monteront la garde de nuit, pour éloigner les « récupérateurs ».

Les maisons voisines, la ferme LEONARD et le Cercle du village sont également touchés par l’explosion.

Lantremange désire une remise de taxes

Le 10 avril 1695, les habitants de Lantremange écrivent au Chapitre de Stavelot-Malmedy, pour obtenir la remise des taxes exigées par les Français, au titre de contribution de guerre pour les armées françaises, durant la guerre de la « Ligue d’Augsbourg ».

La missive est signée par MACAR Jean et six manants, pour les autres qui ne savent pas écrire.

La misère de la Guerre de Hollande (Lantremange)

De 1672 à 1678, toute la population de Lantremange est dans les difficultés, en raison du passage fréquent de troupes, durant la « Guerre de Hollande ». C’est une période de misère.