L’habitation attenant à l’école (Crisnée)

Le 28 février 1942, TOMBAL Joseph et sa famille quittent l’habitation attenant à l’école, mise à leur disposition par la commune de Crisnée. Ce logement sera occupé, dorénavant, par BOLLAND Nicolas et son épouse.

Urbain Leduc, recenseur agricole (Crisnée)

Le 15 mai 1941, LEDUC Urbain est désigné par le conseil communal de Crisnée en qualité d’agent recenseur agricole.

Dépenses de la commune (Crisnée)

Le 13 février 1941, le conseil communal de Crisnée fixe à 15.000 francs le montant qui sera affecté à la voirie pour cette année. Il décide également d’acheter à BURE Joseph et à LAHAYE Nicolas, leur silex disponible, à 22 francs le m3.

Incendie spectaculaire à crisnée

En 1921, un incendie spectaculaire détruit la maison de ENGELBOSCH Alphonse, sur la Grand-Route à Crisnée, face à la maison BOUTTET. Le feu atteint une collection de balles constituée pendant le la guerre et provoque un véritable feu d’artifice.

Epidémie de stomatite aphteuse (Crisnée)

En 1915, une épidémie de stomatite aphteuse sévit à Crisnée.

Taxe sur les chiens de luxe (Crisnée)

En 1917, le conseil communal de Crisnée décide de porter de 2 francs 50 à 5 francs la taxe à percevoir sur les chiens de luxe.

Relief for Belgium (Crisnée)

En 1917, le conseil communal de Crisnée décide que la consommation journalière de farine américaine, provenant de « Relief for Belgium » ne pourra dépasser 325 grammes par habitant

Des horaires pour glaner (Crisnée)

Le 29 juillet 1916, le conseil communal de Crisnée décide que le glanage ne sera autorisé que de 6 heures à 11 heures et de 14 heures à 18 heures.

La ration de pommes de terre (Crisnée)

En mars 1916, la ration de pommes de terre à recevoir pour chaque ménage est de 300 grammes par jour et par personne, à Crisnée. Le prix des tubercules sera affiché au magasin.

La commune emploie des chômeurs (Crisnée)

Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.