En 1953, le conseil communal de Crisnée décide de compléter le Monument à la mémoire des combattants du village lors de la Première Guerre Mondiale, érigé en 1923, et de placer une bordure en pierre entre les bornes reliées par une chaînette.
En 1925, le conseil communal de Crisnée reçoit la notification officielle du décès de GILON François et décide de lui élever un monument dans le village.
Le 7 avril 1923, le Conseil Communal de Crisnée décide d’élever un monument à la mémoire des combattants de la Première Guerre Mondiale, contre le mur de façade droit du cimetière. Réalisé par BACUS, d’Oreye, il portera les noms des 13 combattants du village.
Le 13 mai 1922, le conseil communal de Crisnée décide de réserver un emplacement de 8 m2, au côté sud du cimetière de Crisnée, consacré à l’inhumation des combattants de la Première Guerre Mondiale.
Les combattants et prisonniers de Crisnée de la Première Guerre Mondiale sont:
En octobre 1915, LEDUC Vincent, de Crisnée, affecté à la boucherie de la 3ème Division, est blessé d’un coup de couteau au genou. Il sera transféré à Avranches (via Calais et Rennes), par un train de la Croix-Rouge.
En août 1914, LEDUC Vincent, de Crisnée, est mobilisé à l’hôpital Saint-Laurent à Liège. Il sera affecté à la boucherie de la 3ème Division.
Le 22 avril 1881, LEDUC Vincent voit le jour à Crisnée. Ses parents sont LEDUC Nicolas et LEDUC Catherine. Il sera boucher dans l’armée durant la Première Guerre Mondiale. Il décèdera en 1973.
Le 15 août 1914, le soldat LAHAYE Jules, de Crisnée, réchappe à l’explosion du Fort de Loncin et bat en retraite vers la place-forte d’Anvers.
En 1887, LAHAYE Jules voit le jour à Crisnée (?). Il sera surnommé « Bovy », du nom d’un boxeur de Alleur (car à l’âge de 14 ans, seul témoin d’une bagarre, il osera séparer les combattants … à coups de chaise). Il combattra durant la Première Guerre Mondiale et sera prisonnier au camp de Leuwarden, en Hollande. Il sera marchand de porcs à Oreye. Il décèdera en 1950.