Le 31 décembre 1933, DEVILLERS Raymond voit le jour à Voroux-Goreux. Il épousera HAID Josette. Il sera le compagnon de HENKIN Joséphine. Il habitera à Fexhe-le-Haut-Clocher.
Le 1er novembre 1941, NOSSENT Paul voit le jour à Viemme. Il habitera à Liège.
Entre 1914 et 1918, l’Orphelinat Saint-Joseph pour garçons à Geer est d’abord utilisé pour soigner 200 soldats belges blessés dans les forts de Liège. Ensuite, les Allemands y établiront un hôpital. Et enfin, la Croix-Rouge s’y installera et y soignera des blessés belges, allemands, anglais et russes.
En 1918, après la guerre, on partage les élèves de l’école Saint-Joseph de Geer en 5 classes primaires et on conserve une classe de gardiennes.
A la rentrée scolaire de 1919, il y a 262 enfants à l’école Saint-Joseph de Geer. Il y a 44 élèves par classe.
En 1919, l’Hospice Sainte-Marie de Geer compte 60 lits et une clinique chirurgicale avec 4 lits.
Pendant l’entre-deux-guerres, les 2 orphelinats de Geer (l’orphelinat Saint-Joseph pour garçons et l’orphelinat Saint-Antoine pour filles) sont réunis en un seul, dénommé « Orphelinat Saint-Joseph ». Dès leur écolage primaire terminé, les filles sont employées aux différents services de l’œuvre (cuisine, buanderie, couture) et dans quelques entreprises des alentours. Les garçons sont occupés aux cultures.
En 1957, une école professionnelle est créée à l’Orphelinat Saint-Joseph de Geer. Un cycle de 4 ans, dès l’âge de 13 ans, est prévu pour l’apprentissage d’un métier. Les cours pour les garçons sont donnés dans les caves du 2ème pavillon des Foyers Sainte-Marie. Les cours pour les filles sont donnés dans une rotonde située à l’étage de l’Hospice. Il y a une trentaine d’élèves. Cette école secondaire est dénommée « Atelier d’Apprentissage Saint-Joseph ».
En 1960, la section « Ebénisterie » de l’Atelier d’Apprentissage Saint-Joseph de Geer reçoit l’agrément du niveau professionnel A4.
Le 1er septembre 1960, la section d’ébénisterie de l’Atelier d’Apprentissage Saint-Joseph de Geer est transférée dans les locaux de la rue Emile Lejeune (ancienne rue de Waremme), au centre du village. Les cours généraux pour les enfants de l’orphelinat s’y donnent également.