La nuit du 17 septembre (entre 696 et 705 ?), l’Evêque du diocèse de Tongres – Maastricht, LAMBERT, fait halte dans une petite bourgade en bord de Meuse et y est assassiné. (L’endroit deviendra rapidement un lieu de pèlerinage).
En 718, l’Evêque HUBERT ramène les reliques de SAINT-LAMBERT sur les lieux de son assassinat et y consacre une église. La ferveur populaire va en faire un lieu de pèlerinage prospère. ‘Legia », le nom d’un petit cours d’eau proche de cette église, donnera le nom de « Liège » à cette bourgade.
En 763 / 764, il gèle du 1er octobre jusqu’à la fin février à Fize-le-Marsal.
En 787, GERBALD est nommé évêque de Tongres-Maastricht-Liège. Il occupera cette fonction jusqu’en 809. Il a été conseiller de CHARLEMAGNE.
Sous son épiscopat, Liège a subi sa première épidémie de peste.
En 765 (768 ?), AGILFRID est nommé évêque de Tongres-Maastricht-Liège. Il occupera cette fonction jusqu’en 787. Il a été moine de Saint-Amand et abbé de l’église Saint-Bavon à Gand.
En 746, FULCAIRE est nommé évêque de Tongres-Maastricht-Liège. Il occupera cette fonction jusqu’en 765 (768 ?).
En 727, FLORIBERT est nommé évêque de Tongres-Maastricht-Liège. Il occupera cette fonction jusqu’en 746. Il est le fils de SAINT-HUBERT et de FLORIBANNE, princesse d’Austrasie.
Entre 705 et 727, SAINT-HUBERT est évêque de Tongres-Maastricht-Liège. Il siège à Liège.
A la fin du 8ème siècle, début du 9ème siècle, l’accès à la charge d’avoué est strictement défini. Les critères de choix sont, notamment:
Entre 768 et 814, sous CHARLEMAGNE, le statut de l’avoué connaît une importante modification, puisqu’il devient obligatoire et public. L' »Advocatus » représente, non seulement, l’abbé ou l’évêque, mais aussi le pouvoir central, c’est-à-dire le souverain.