Le 1er août 1914, au matin, les mobilisés de Waremme prennent le chemin de la gare, revêtus de leur uniforme. La plupart sont accompagnés de leurs proches.
En ce début de mois d’août, 101 hommes sont mobilisés à Waremme.
Le 31 juillet 1914, en soirée les gendarmes de Waremme se livrent à un ballet incessant entre la gare et leur caserne située sur la place de la Gendarmerie (qui deviendra plus tard la place du Roi Albert 1er).
Le 31 juillet 1914, à 19h., le bureau des télégraphes, à la gare de Waremme, reçoit des messages ordonnant le rappel des classes de milice 1901 à 1909.
En janvier 1990, le conseil communal de Waremme rend un avis défavorable au TGV (train à grand vitesse), dans l’état actuel du dossier.
Le 2 novembre 2013, CHARLIER Michel, de Waremme, y décède à son domicile à l’âge de 62 ans. Il était natif de Waremme. Il a été agent de la SNCB. Il a été sergent-major au Service Régional d’Incendie de Waremme. Ses cendres seront dispersées au cimetière de Waremme.
Il a été une des figures marquantes du jumelage entre les pompiers de Waremme et ceux de Gérardmer. Son fils, CHARLIER Cédric est également pompier à Waremme.
En 1991, DEGUELDRE Gilbert de Waremme est sous-chef de gare à la SNCB.
Le 13 février 1938, LEFAZA MAMPUYA Pierre voit le jour à (?). Il sera délégué général de l’ASBL « Congo-Rail », dont le siège sera établi au n° 15 de la place Ernest Rongvaux à Waremme. Son objet sera de créer des voies ferrées au Congo.
En janvier 2005, est constituée l’ASBL « Congo-Rail », dont le siège est établi au n° 15 de la place Ernest Rongvaux à Waremme. Son objet est de créer des voies ferrées au Congo.
Son délégué général est LEFAZA MAMPUYA Pierre.
Le 5 juillet 2003, SIMONIS Emile, natif de Geer, épouse DUMOULIN Arlette, qui exploite la librairie de la gare de Waremme.
En avril 1987, la SNCB envisage de supprimer le train du soir, au départ de Bruxelles, appelé populairement « train Leburton ».