Les Résistants font dérailler un train entre Bleret et Waremme

Le 11 août 1944, pour bloquer définitivement la ligne de chemin de fer Bruxelles – Liège, des Résistants du Front de l’Indépendance (F.I.) provoquent le déraillement d’une locomotive entre Bleret et Waremme. La voie sera obstruée pendant 82 heures.

La Section d’Edmond Leburton attaque la gare (Waremme)

Le 7 juillet 1944, la section de Résistants de LEBURTON Edmond, dit « Jean-Pierre », du Refuge « Otarie », réalise un sabotage général de la gare de Waremme.

Rampant le long des voies et des bâtiments, les Résistants font sauter le château d’eau, détruisent huit aiguillages, sectionnent les freins des voitures en gare et les cables des lignes Bruxelles – Liège – Cologne, ainsi que le réseau autour de Waremme. La mission est totalement réussie, au nez et à la barbe des sentinelles allemandes.

Le château d’eau de la gare à nouveau détruit (Waremme)

Le 12 juin 1944, des Résistants font sauter le château d’eau de Waremme.

La Résistance s’en prend à la gare (Waremme)

Dans la nuit du 8 au 9 juin 1944, une vingtaine de Résistants du Réseau « Otarie » font sauter le château d’eau de la gare de Waremme. Huit aiguillages sont également pulvérisés. Tous les freins des voitures en gare sont sectionnés.

Réquisition de la paille et du fourrage (Waremme – Allemagne)

En 1942, les produits agricoles, paille et fourrage, réquisitionnés par les Allemands, sont amenés à la gare de Waremme, par charrette tirée par des chevaux ou des bœufs.

Vol à la gare de Waremme

Le 9 avril 1942, deux sacs d’orge sont volés dans les magasins de la gare, à Waremme.

Mort de Joseph Martinaux (Waremme)

Le 26 novembre 1941, à 21 heures, MARTINAUX Joseph-Louis, âgé de 21 ans, victime d’un accident de chemin de fer, alors qu’il montait la garde à la voie ferrée, deux jours plus tôt, décède à la Clinique Notre-Dame de Waremme. Lors de l’accident, il a eu la colonne vertébrale fracturée et des contusions multiples.

La maison « Doyen » occupées par les Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 1er août 1941, des « Feldgrau » occupent la maison « DOYEN », place de la Gare à Waremme (qui deviendra la place Ernest Rongvaux). Ils y resteront jusqu’au 1er avril 1942.

Des Allemands s’installent à la gare de Waremme

En cette fin d’année 1940, un détachement de la Wehrmacht occupe deux locaux, au premier étage de la station de Waremme, à côté de l’appartement du chef de gare. Ces soldats « techniciens » sont chargés de l’installation, de l’entretien et de la réparation du réseau téléphonique. Dans ce central, baptisé « Vermitlung des Fernsprechendienst des W.H. » travaillent 6 ou 7 hommes sous les ordres d’un sous-lieutenant. Certains sont logés chez l’habitant et certains dans les hôtels du quartier de la gare.