En avril 1349, HASSE DE GONEFFE Henri est mayeur à la Cour de Justice Saint-Jean-Baptiste à Hemricourt.
Il est le fils de HASSE DE GONEFFE Damme.
En avril 1349, HASSE DE GONEFFE Henri est mayeur à la Cour de Justice Saint-Jean-Baptiste à Hemricourt.
Il est le fils de HASSE DE GONEFFE Damme.
Le 12 juillet 1773, la Cour de Justice de Hemricourt condamne le cabaretier du village, GOFFIN Jacques, à dix florins d’amende, pour avoir été surpris à faire moudre son grain par un meunier étranger et non au moulin banal du village.
Le 14 mai 1749, Damoiselle DE GRUMSEL (DE GRUMSELLE) Catherine cède la Seigneurie de Hemricourt à:
En 1336, DE LOOZ Jean III, Seigneur d’Agimont, est mayeur et échevin de Hemricourt (Remicourt).
En juin 1632, la Seigneurie de Hemricourt (Remicourt) consiste en une haute, moyenne et basse justice; une maison-forte (château ?) et ses cour, jardin, prés, terres, rentes et cens; les banalités du moulin, de la brasserie et du four. La superficie est d’environ 100 bonniers. Les rentes s’élèvent à 35 muids d’épeautre, 66 chapons et 238 deniers fortis.
En août 1287, un accord est conclu entre le Seigneur DE HEMRICOURT Guillaume et le Prince-Evêque de Liège, Jean. Aux termes de cet accord, le Seigneur de Hemricourt (Remicourt) devient le vassal du Prince-Evêque, moyennant une rente annuelle de 200 muids d’épeautre. Cette inféodation constitue un épisode de la rivalité opposant le Prince-Evêque au Duc DE BRABANT.
Jusque-là, les Seigneurs de Hemricourt n’avaient pas de suzerain ou de supérieur féodal. A partir de ce moment, le Seigneur de Hemricourt renonce à son indépendance, en échange d’une rente annuelle.
Une rente de 200 muids représente une grosse somme. Elle se justifie par le fait que la Principauté de Liège est menacées par les Ducs de Brabant, qui désirent étendre leurs territoires vers l’Est. Cette poussée va entraîner la bataille de Woeringen et l’annexion du Limbourg. Pour résister à cette pression, le Prince-Evêque doit pouvoir compter sur l’appui militaire des Seigneurs se trouvant dans la partie de la Principauté, convoitée par les Brabançons.
La Seigneurie devenant fief, son statut juridique change. Elle ne pourra notamment plus être transmise, par succession, par vente, …, que moyennant des formalités juridiques (relief, transport, …) qui relèvent de la compétence de la Cour féodale du Prince-Evêque.
En mai 1833, le maître maçon KINET intente une action en justice contre le bourgmestre et les assesseurs de Remicourt, aux fins d’obtenir le paiement d’une somme de 227,28 florins, qui lui reste due sur les travaux de reconstruction du presbytère du village.
Le 12 mars 1300, une convention amiable, appelée « Concordia Amicabilis », est signée entre l’Abbé de Malmedy et le Prince-Evêque de Liège, à propos du village de Lantremange.
Malmedy y abandonne le droit seigneurial de nomination de la Cour de Justice. L’avoué y est devenu héréditaire. Il percevra les amendes. Il sera soumis au Prince-Evêque de Liège et à sa Cour féodale. Progressivement, les avoués de Lantremange vont prendre le titre de « Seigneur de Lantremange ».
Le 11 juillet 1792, le Seigneur de Lantremange, DETHIER Nicolas-Toussaint, nomme BOUX Jean-Gisbert Mayeur de Lantremange. Il exerçait le fonction de greffier « ad interim » depuis quelques années.
Il s’agit du dernier acte seigneurial à Lantremange.
Le 9 juillet 1787, lors de sa cérémonie d’intronisation, le nouveau Seigneur de Lantremange, DETHIER Nicolas-Toussaint, confirme BRABANT Jean-François dans sa charge de Mayeur du lieu.