En octobre 1453, la Cour de Justice de DE CORSWAREM Arnould VI, au village de Herck-Saint-Lambert, prend position au sujet d’une rente.
(DE CORSWAREM Arnould VI possède la Seigneurie de Herck-Saint-Lambert par son second mariage)
En octobre 1453, la Cour de Justice de DE CORSWAREM Arnould VI, au village de Herck-Saint-Lambert, prend position au sujet d’une rente.
(DE CORSWAREM Arnould VI possède la Seigneurie de Herck-Saint-Lambert par son second mariage)
Le 16 mars (29 avril ?) 1430, DE CORSWAREM Arnould VI acquiert, devant la Cour Féodale de Looz, la « Cour de Kukelberg », un domaine de 12 bonniers de terres et 15 verges de prés à Corswarem.
Le 22 juin 1423, DE CORSWAREM Arnould VI acquiert, devant la Cour Féodale de Looz, la « Salle de Curange », un fief de 10 bonniers garni d’une maison à Corswarem. Son père, DE CORSWAREM Arnould V est en vie.
En novembre 1258, DE CORSWAREM Arnould 1er, ses frères et soeurs, enfants de DE CORSWAREM Guillaume, sont en conflit avec le monastère de la Paix-Dieu.
Suite à un compromis proposé par la Cour Arbitrale, des donations de DE CORSWAREM Arnould et de sa mère DE JENEFFE Marguerite:
A la fin du XVIIe siècle, les bancs de l’église de Jeneffe sont réservés aux notables du village. Le premier banc, ayant un pupitre ou planche d’appui, est réservé aux membres de la Cour de Justice du village.
En juin 1753, MONFORT Laurent, âgé de 15 ans, fils de MONFORT Gilles, est condamné par la cour de justice de Jeneffe, à 50 coups de fouet et à être banni pour 50 ans. On lui reproche d’avoir été élevé et nourri dans le crime et de n’avoir pas été instruit des principes de la religion.
En mars 1753, MONFORT Gilles est condamné à mort par la cour de justice de Jeneffe.
Le 8 mai 1779, HAUTECLAIR Joseph, dit « Le Pêcheur », s’introduit dans la demeure du sieur VIGOUREUX à (Fize ?) Fontaine, et y dérobe quelques vêtements et objets. Il sera condamné par la cour de justice de Jeneffe à être pendu et étranglé à une potence, jusqu’à ce que mort s’en suive.
En 1715, quiconque attaque autrui avec une arme est condamné par la cour de justice de Jeneffe à avoir la main droite coupée
En 1709, l’hiver est très rude dans la région de Jeneffe. Les récoltes sont compromises. La population connait la misère et recourt aux vols et autres chapardages, risquant la mort prononcée par la cour de justice du village.