En décembre 1802, MISSOTTEN Jean-Joseph est âgé d’environ 41 ans. Il est suppléant (?) du Juge de Paix de Waremme. Son épouse est BOUYET Marie-Elisabeth, âgée d’environ 29 ans. Ils savent écrire. Ils habitent à Waremme.
En février 1802 et août 1803, FRAIPONT Charles-Joseph est âgé d’environ 41/42 ans. Il est greffier du Juge de Paix de Waremme. Il sait écrire. Il habite à Waremme. Il est le frère de FRAIPONT Marie-Joseph-Dorothée. Ses parents étaient FRAIPONT Thibeau et DURBUTO Marguerite.
Le 2 juin 2025, le marchand de produits gaziers de Waremme, DELBROUCK Didier, âgé de 69 ans, installé au n° 31 de l’Avenue de la Résistance, annonce qu’il doit renoncer à son commerce de gaz. Suite aux plaintes d’une voisine craignant le risque d’explosion des bouteilles de gaz stockées sur la devanture du magasin, il est apparu que sa licence professionnelle pour exercer cette activité est périmée depuis 2011 et qu’il a sciemment poursuivi son activité durant toutes ces années. Il ne désire plus entreprendre les démarches pour renouveler cette licence et décide d’arrêter ce commerce. Il doit évacuer toutes les bouteilles de gaz dans le délai d’une semaine.
Le (?) 1997, HABRANT Quentin voit le jour à Oreye. Il tombera rapidement dans la délinquance. Il sera surnommé ‘Bébé Braqueur ». A 26 ans, il aura déjà été condamné à des peines cumulées de 18 ans d’emprisonnement, pour du racket, des braquages, des home-jackings, des non réintégrations de prison à l’occasion de congés pénitentiaires.
En 1624, la ville de Waremme revendique le pré appelé « Willericque » (Wérick) comme propriété communale, contre le Seigneur de Berloz.
Vers 1119, l’Evêque OTBERT restitue solennellement au chapitre de Sainte-Croix, un moulin et une brasserie situés à Waremme, près du pont, que le noble dame ERMENGARDE avait donné à l’autel Sainte-Marie-Madeleine de la crypte de l’église Sainte-Croix, du consentement de l’Evêque de Liège Henri , et dont il s’est emparé. (Le chapitre de Sainte-Croix avait déposé plainte à la la Cour Impériale de HENRI IV à Aix-la-Chapelle).
Le 4 juin 1289, DE FRELOUX Jean transporte au chapitre de Sainte-Croix à Liège, représenté par le chanoine DE LIMONT Robert, une terre sise à Fize-le-Marsal, devant la cour allodiale de Liège.
En 1937, un soubassement octogonal en pierre, dont la partie supérieure est creusée en forme d’auge (sans doute le trou de scellement d’un ancien crucifix ?), est situé au Sud-Ouest du carrefour de la chaussée Romaine et de la route de Fize, sur le territoire de Kemexhe. (Au centre de ce carrefour s’élevait jadis une petite « tombe » surmontée d’un tilleul).
Des souvenirs superstitieux restent attachés à cet antique lieu de culte. On n’aime pas y passer la nuit ! La pierre est, dit-on, si profondément enterrée que jamais ont n’est parvenu à l’arracher ! D’autres racontent que la pierre servait jadis à dresser une potence, ou encore qu’on y plantait la bannière lorsque le tribunal se réunissait à cet endroit.
Le lieu est lié au souvenir d’une affaire de sorcellerie: LARSEE Barbe, fille de la sage-femme d’Odeur, y aurait été exécutée.
En mai 2024, HABRANT Quentin, originaire d’Oreye, dit « le Bébé braqueur », est condamné à 12 ans d’emprisonnement par le Tribunal Correctionnel de Liège, pour la tentative d’assassinat d’un homme dans les bois de Montegnée.
Le 18 décembre 1263, le pape URBAIN IV autorise le Chapitre de Saint-Lambert à Liège à excommunier ceux qui s’emparent de ses biens.