En octobre (?) 2024, la nouvelle directrice du comité scolaire de Verlaine, GOFFA Fanny, démissionne suite à la découverte d’un détournement de fonds dans les caisses de l’institution. Jusqu’à sa nomination, elle était trésorière et institutrice à l’école. Elle devra rembourser les sommes détournées et une plainte sera déposée contre elle. Elle sera remplacée temporairement par ALGOET Loïc, instituteur en 6ème primaire.
Archives de catégorie : Plainte
Différend entre le Seigneur et l’avoué (Hodeige – Liège)
En 1248, un différend surgit entre le Chapitre de Saint-Denis à Liège, Seigneur de Hodeige, et son avoué, DE HODEIGE Navekin, au sujet de ses droits. Il semble avoir voulu usurper les droits seigneuriaux sur l’avouerie. Le problème sera résolu par l’arbitrage.
Expulsion de la salle de fitness Sports 85 (Waremme)
Le 31 octobre 2017, la salle de fitness « Sports 85 » est expulsée, par le propriétaire du bâtiment qu’elle occupait rue de Huy à Waremme, car les loyers de location de parkings sont restés impayés.
Le société d’exploitation de la salle « Sports 85 » est en réorganisation judiciaire.
L’échevin Delnatte agresse un candidat (Faimes – Borlez)
Fin août 2018, le candidat aux élections communales à Faimes, TIHON Dany, de la liste électorale « Intérêts Citoyens de Gauche Faimoise » (ICGF), est pris à partie par l’échevin de Faimes, DELNATTE Frédéric, alors qu’il distribue ses tracts électoraux dans la rue de ce dernier, à Borlez. Plainte sera déposée.
L’échevin DELNATTE est absent du collège communal de Faimes depuis juin 2017, pour raisons de santé.
Poursuites à Thys
De 1730 à 1734, des poursuites sont intentées à Thys contre un particulier qui y a établi une brasserie et contre un autre qui y tient un débit de boissons.
Contentieux autour de la seigneurie de Momalle
En 1367, après le décès de DE MOUMALE Wathy II, l’abbaye Saint-Laurent de Liège désire rentrer en possession de la Seigneurie de Momalle et intente un procès à DE CORSWAREM Arnould, petit-fils de DE MOUMALE Wathy II, qui la revendique également. Finalement, ce dernier n’en obtiendra que l’avouerie.
Hemricourt ne paie pas ses dettes
Le 24 mars 1707, l’avocat TORNACO, VILLEGIA et consorts entament une procédure contre les manants et la communauté de Hemricourt, représentée par les anciens bourgmestres FABRY Jacque et DELTHOUR Léonard, à la suite du défaut de nouveaux bourgmestres.
L’origine de cette procédure est le retard apporté au paiement de 50 florins.
Conflit entre Collon et le notaire Lejeune (Waremme)
En décembre 1840, COLLON Anne-Marie n’ayant pas payé pendant 2 ans les fermages dus pour la location d’un terrain, le notaire LEJEUNE de Waremme entame des poursuites à son égard.
Doyen assigne (Waremme)
En septembre 1952, DOYEN Camille assigne en justice, pour calomnie, le bourgmestre de Waremme, LEBURTON Edmond et le rédacteur en chef du journal « Les Echos de Waremme ».
L’un des avocats de DOYEN Camille est RENIER Jean-Baptiste, fils de l’ancien bourgmestre de Waremme, RENIER Eugène, qui a abandonné son poste en août 1914.
Leburton s’exprime sur le « rapport Blumenthal » (Waremme – Belgique – Congo)
Le 24 novembre 1982, LEBURTON Edmond s’exprime sur le « rapport Blumenthal ».
A la question: « Quelle est votre attitude face aux allégations reprises dans le rapport Blumenthal ?
Je n’ai pas varié depuis le début, à savoir que j’oppose un démenti formel aux allégations contenues dans ce rapport. Je mets en cause sa probité intellectuelle.
Aux questions: « Quelles étaient vos relations avec le président MOBUTU alors que vous étiez Premier ministre ? Que sont devenues ces relations ?
C’est très simple, les mêmes que tout chef de gouvernement. Il n’y a pas une exception depuis lors et, auparavant, c’est en raison de ce qu’était le statut du Zaïre et du Congo belge. Tous ceux qui ont eu des responsabilités dans la vie de l’Etat ont eu des rapports avec le gouvernement de ce qui est devenu la République du Zaïre. Mon problème comme Premier ministre était très simple, c’était d’entretenir des relations normales avec ce pays qui était naguère colonisé et qui est devenu indépendant. Dans le respect de l’indépendance, j’ai eu, bien entendu, des relations avec les responsables du gouvernement.
Pour citer un exemple dont on ne parle pas: lorsque j’étais Premier ministre en 1973, j’ai négocié une commande particulièrement importante pour le barrage d’Inga. Des millions d’heures de travail pour les ACEC de Charleroi étaient en jeu. J’ai essayé d’obtenir et obtenu du président MOBUTU, que le marché soit confié aux ACEC, plutôt qu’à une entreprise étrangère. Avec le Premier ministre de l’époque, CARL I BOND N’Gusa, j’ai été reçu par une délégation des ACEC, pour me remercier de ce que j’avais fait. En dehors de cela, je conteste avoir reçu quoi que ce soit, parce que c’est indigne de ma personnalité. Je suis heureux d’avoir pu contribuer à la réalisation d’une opération importante pour les ACEC et pour l’économie wallonne.
A la question: « Vous êtes intervenu auprès du président MOBUTU pour obtenir la grâce de Monsieur CARL I BOND N’Gusa alors que celui-ci était condamné à mort. A quel titre êtes-vous intervenu ? Quelles étaient vos relations avec Monsieur CARL I BOND ?
C’est vrai, je suis intervenu, non pas une fois mais deux, en faveur de CARL I BOND N’Gusa, qui a été Premier ministre, afin qu’il ne soit pas exécuté. Le président MOBUTU disait qu’il avait été victime de la trahison de son Premier ministre. Je connais bien CARL I BOND N’Gusa. J’ai estimé qu’exécuter un Premier ministre était un acte grave. J’ai plaidé son cas, avec d’autres, et nous avons obtenu la clémence du président MOBUTU. CARL I BOND N’Gusa a été gracié et est redevenu Premier ministre de MOBUTU.
Je n’ai jamais rien demandé, pas même un centime ! Je n’ai jamais spéculé pour quoi que ce soit dans les affaires de Waremme ou d’ailleurs. Je m’insurge contre de telles affirmations.
Mais ce qui est plus grave, j’accuse MARTENS Wilfried d’avoir comploté contre un certain nombre de personnalités parce que lui-même a été de mèche avec CARL I BOND N’Gusa, pour des raisons qu’il ne m’intéresse pas de connaître. Mais il y a deux ou trois ans de cela, lorsque CARL I BOND N’Gusa était encore « persona grata », il a reçu MARTENS Wilfried à Kinshasa, en néerlandais, ce qui était assez exceptionnel de la part d’un zaïrois. De là sont nées des relations particulières. CARL I BOND a tenu à MARTENS des propos d’une telle bonne volonté que ce dernier s’est laissé séduire et a déclaré, un peu plus tard, « J’aime ce pays, j’aime ce peuple, j’aime ses dirigeants ».
Lorsque CARL I BOND a rompu avec le régime MOBUTU, il est venu en Belgique et a rencontré MARTENS. Ensemble, ils ont manigancé contre MOBUTU et ont demandé à BLUMENTHAL de faire un rapport dont une annexe comportait des accusations non fondées, irresponsables, ignobles, contre un certain nombre de personnalités, dont moi-même, en vue de discréditer MOBUTU. Il y a une évidente complicité entre MARTENS et CARL I BOND. D’autre part, j’accuse MARTENS Wilfried d’avoir utilisé scandaleusement ce rapport pour réaliser une bonne opération électorale.
Il y a actuellement plusieurs actions judiciaires en cours.