En août 2006, ROLAND Yves, inculpé dans l’attaque mortelle du fourgon de la Brink’s à Waremme en janvier 1998, meurt en prison, dans des circonstances jugées suspectes par sa famille. Il serait décédé faute de soins.
marcel habran
Le 29 juin 2006, la Chambre des Mises en Accusation de Liège confirme la détention préventive de HABRAN Marcel et de huit autres inculpés, dans le cadre du dossier de l’attaque du fourgon de la Brink’s à Waremme, le 12 janvier 1998.
mohammed ben bella
En 1956, l’Algérien BEN BELLA Mohammed est emprisonné en France.
Le 13 mai 1916, le Waremmien, WAUTERS Joseph, directeur du journal « Le Peuple » et député de Huy-Waremme, est arrêté à la frontière des Pays-Bas, en essayant de rejoindre le gouvernement belge en exil. Il écope de trois mois de prison ferme et est incarcéré à la prison d’Anvers. Il a été victime d’une dénonciation.
françois-marie arouet dit voltaire
Le 16 mai 1716, l’écrivain et philosophe français, AROUET François-Marie, dit « VOLTAIRE » est emprisonné à la Bastille à Paris.
Le 18 septembre 1698, le « Masque de Fer » est emprisonné à la Bastille à Paris.
Le 16 juin 1697, une bande de brigands, armés de fusils, pénètre dans Waremme, force la maison d’arrêt et délivre un détenu, accusé de garrottage et d’assassinat. A la suite de cet acte audacieux, un poste fixe de 30 soldats sera installé dans la ville pour prévenir le retour de semblables attentats.
Le 3 avril 1680, l’ancien surintendant des finances du Roi de France LOUIS XIV, FOUQUET Nicolas, meurt en captivité, à la forteresse de Pignerol, où il était incarcéré depuis presque 20 ans.
roi Louis xiv
forteresse de pignerol
Le 9 octobre 1678, le Comte DE NASSAU vient camper à Waremme avec sa suite. Il amène avec lui 160 prisonniers qui sont logés à l’Hôtel de Ville, sous la garde de plusieurs soldats. Il restera à Waremme durant 1 mois.
Le 10 janvier 1634, 15 cavaliers hollandais pénètrent dans Waremme et occupent la maison de MACAR Fastré. Trois heures plus tard, on voit arriver 60 cavaliers espagnols qui réclament avec colère la mise en liberté d’un lieutenant de leur armée, détenu prisonnier par les hollandais.
Les bourgmestres, PLESSEREA Gilles et BOUX Gisbert, se rendent avec les Espagnols en la demeure de Fastré Macar, mais y trouvent les Hollandais disposés à se défendre sérieusement. Pour éviter une lutte meurtrière, les magistrats de la ville proposent de prendre le prisonnier sous leur garde et de laisser au Prince-Evêque le soin de décider sur son sort.