Dieudonné Haccourt, condamné et incarcéré (Waremme – Melun – France)

En décembre 1930 (?), HACCOURT Dieudonné, natif de Waremme, est condamné pour le meurtre de son ancienne maîtresse, GAILLARD Marguerite, native de Paris. Il est incarcéré à la prison de Melun le 29 décembre.

Mariage annulé pour bigamie (France – Waremme)

Le 4 juin 1926, un jugement annule le mariage célébré en 1915 de HACCOURT Dieudonné, natif de Waremme, avec GALMACE Joséphine, native de Paris, pour bigamie. HACCOURT Dieudonné n’a, en effet, pas divorcé de sa première épouse, TINLOT Marie-Thérèse-Jeanne (mariage à Waremme en 1898). Il a eu 3 enfants du premier mariage et 4 enfants du second.

La mère d’Ethan Houillet, inculpée (Berloz)

Le 23 juillet 2025, la mère du jeune HOUILLET Ethan, retrouvé étouffé dans son lit le 10 novembre 2024, à Berloz, est inculpée d’assassinat. Sa demande de mise sous bracelet électronique est rejetée par la Chambre du Conseil de Liège.

Nouvelle condamnation de Colin Borguet (Liège – Waremme)

Le 13 mai 2025, le tribunal correctionnel de Liège, en degré d’appel, condamne BORGUET Colin, d’Oupeye, à 4 ans de prison avec sursis probatoire de 2 ans, 5 ans de déchéance de conduite d’un véhicule motorisé et 8.000 euros d’amende avec un sursis probatoire pour la moitié, pour l’homicide involontaire de COLEMANS Thomas et JAMOYE Jean-François, à Waremme, dans la nuit du 13 au 14 avril 2024. Lors du prononcé de cette peine, les familles des victimes réagissent fortement et doivent être évacuées de la salle d’audience. Le condamné, accompagné d’un ami mineur d’âge, avait consommé une demi-bouteille de vodka, une boisson énergisante et fumé un joint. (Un premier jugement a fait l’objet de cet appel pour le prononcé d’une peine illégale)

Comme il a déjà purgé 13 mois de détention préventive, il demandera à être placé sous surveillance électronique et sera libéré le lendemain.

Procès de Maroie Tempier (Crisnée)

Les 19 et 21 juillet 1581, l’interrogatoire de CLEMENCE Maroie, dite « TEMPIER », accusée de sorcellerie, se poursuit devant la Cour de Justice de Crisnée. Malgré les ruses de son geôlier, elle persiste à nie tout commerce avec le diable.

Evasion de Maroie Tempier (Crisnée)

La nuit du 1er au 2 août 1581, CLEMENCE Maroie, dite « TEMPIER », poursuivie pour sorcellerie par la Cour de Justice de Crisnée, s’évade de la cave où elle est incarcérée, en forçant la serrure de la trappe qui la ferme, à l’aide d’une « pierre à feu ». Elle se réfugie chez LEALE Tossin.

La fugitive Maroie Tempier, retrouvée (Crisnée)

Le 2 août 1581, vers 15 heures, le sergent de la ville de Crisnée, GERAR Jean, retrouve CLEMENCE Maroie, dite « TEMPIER », chez LEALE Tossin. Elle s’est enfuie de la geôle (cave) où il la maintenait incarcérée durant son procès pour sorcellerie devant la Cour de Justice de Crisnée.

Procès de Maroie Tempier (Crisnée)

Entre le 18 juillet et le 4 août 1581, CLEMENCE Maroie, dite « TEMPIER », poursuivie pour sorcellerie devant la Cour de Justice de Crisnée, est à plusieurs reprises soumise à la torture « par froid et par chaud (?)« , en vue de lui arracher des aveux et la dénonciation de ses complices. Elle endure les supplices et nie tout commerce avec le diable.

Le 4 août, elle finit par avouer avoir seulement dérobé 3 poignées de grains d’épeautre dans les champs de RENNECHON Gilet, à Fize, et les avoir ramenées à Crisnée pour les donner à ses poules.

Clémence Tempier, acquittée (Crisnée)

Le 5 août 1581, la Cour de Justice de Crisnée acquitte CLEMENCE Maroie, dite « TEMPIER », des accusations de sorcellerie qui pesaient sur elle, « attendu que la torture l’expurge de sa faute » (et qu’elle n’a pas avoué !) et la condamne aux dépens de justice.

Procès de Maroie Léale (Crisnée)

Le 15 juin 1590, le procès de LEALE Maroie, accusée de sorcellerie, s’ouvre devant la Cour de Justice de Crisnée. Elle est la fille de LEALE Jean, jadis curé de Crisnée, et l’épouse de HAPPART Fastré, charpentier à Crisnée.

Le président de la Cour est le Mayeur HALING Jean. C’est lui qui a émis contre elle une ordonnance de capture, sur base de la dénonciation de GELINNE Jennon (LEFORNIER ?), dite « La Sorcière de Kemexhe ».

Lors de son interrogatoire, elle nie connaître et avoir rencontré GELINNE Jennon; s’être jamais trouvée en compagnie d’un sorcier ou d’une sorcière; avoir un diable pour galant; avoir dansé au lieu-dit « Fossé Liba », entre Remicourt et Jeneffe ou sur le Thier (Tombe) de Hodeige.