Le 11 avril 1859, le tailleur de Poucet, PHILIPPART, est condamné à 20 francs d’amende, par le tribunal correctionnel, pour avoir, avec circonstances atténuantes, appelé son curé « cochon » pendant le catéchisme. Il a été défendu par FORGEUR.
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Guillaume de Hemricourt, condamné (Fize-le-Marsal)
Le 21 février 1270, le chanoine et official de Liège, DE ROSOUX B. prononce une sentence contre le Chevalier DE HEMRICOURT Guillaume, à raison des violences qu’il a commises contre le Chapitre de Sainte-Croix, à Fize-le-Marsal, alors que l’Evêque de Liège était à Waremme avec son armée, prêt à entrer en Brabant. Il a forcé la grange des chanoines et a enlevé du blé en quantité. De plus, il a violé la justice seigneuriale du chapitre de Sainte-Croix, en défendant aux habitants du village de rejoindre l’armée de l’Evêque de Liège.
Règlement d’un conflit
En 1240, une sentence arbitrale adjuge à l’abbaye du Val-Notre-Dame un moulin et des terres à Latinne. Ils étaient également revendiqués par le Chevalier QUADEKINT Gisbert.
Pierre Cloosse condamné (Waremme)
Le 8 juin 1794, (le 20 prairial An II), CLOOSSE Pierre, âgé de 53 ans, manoeuvre à Pousset, canton de Waremme, accusé d’avoir volé dans les premiers jours de pluviose An I, 16 gerbes de seigle non battu, dans la grange du citoyen HANNOSSET Jean-Henri, cultivateur à Pousset, est condamné à 6 mois d’emprisonnement et aux frais de la procédure.
Henri Monjoie payera Doyen (Waremme – Liège)
Le 9 novembre 1962, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, MONJOIE Henri, déclare qu’il est temps que l' »affaire Doyen » se termine et demande au conseil communal de consentir un emprunt sur 20 ans pour payer la somme de 934.349 francs fixée par la Cour d’Appel de Liège en juin 1962, bien inférieure à celle de 5.510.262 francs qui avaient été initialement établie en 1950.
Epilogue de l’Affaire Doyen » (Waremme – Liège)
Le 27 juin 1962, la Cour d’Appel de Liège condamne la ville de Waremme à payer à DOYEN Camille une indemnité de 934.349 francs, assortie de la condition expresse que la somme soit investie à Waremme-même.
Doyen condamné (Waremme)
Le 18 juillet 1920, DOYEN de Waremme est condamné à un an de prison et à une amende de 3.000 francs pour des agissements commis durant la Première Guerre Mondiale:
- corruption de fonctionnaire
- escroquerie dans la vente de pommes de terre.
Alexis Wauters arrêté (Waremme – Allemagne – Pays-Bas)
Fin 1918, WAUTERS Alexis, le plus jeune frère de WAUTERS Joseph et WAUTERS Arthur, est arrêté. La justice lui reproche, ainsi qu’à son complice PAQUOT Léopold, d’avoir abattu d’innombrables arbres et de les avoir vendus aux Allemands, via un intermédiaire hollandais.
WAUTERS Alexis sera condamné à 20 ans de travaux forcés et PAQUOT Léopold à 15 ans.
Le tonnelier récupère sa prairie (Waremme – Grand-Axhe)
En 1588, Rennechon LE TONNELIER récupère sa prairie, située au lieu-dit « Trochéa » à Grand-Axhe, car les frères DU BOSQUET Louis et DU BOSQUET François ne lui en ont toujours pas payé la location.
Ils sont absents à la proclamation de la décision de la Cour de Justice de Grand-Axhe au Perron de Waremme, et « sont bannis aux quatre coins du pays cent ans et un jour ».
Daniel François et Alain Michelet condamnés pour harcèlement et traitement dégradant (Waremme – Liège)
Le 16 mai 2014, le tribunal correctionnel de Liège condamne le commissaire FRANCOIS Daniel à une peine de 12 mois de prison, avec un sursis de 3 ans et le commissaire MICHELET Alain, à une peine de 10 mois de prison, avec un sursis de 3 ans pour harcèlement et traitement dégradant à l’égard de KOCH Sandra.
Les deux hommes sont acquittés de la prévention de faux en écritures, qui portait sur le classement abusif de procès-verbaux (PV) et la réattribution de numéros de PV existants. Le Tribunal estime qu’il n’y a pas eu n’analyse sérieuse du système informatique de la police de Waremme. Analyse qui, seule, aurait permis de confirmer cette prévention. Le Tribunal déclare donc la prévention non établie.
Les deux hommes sont également acquittés des préventions de coups et blessures involontaires et d’homicide involontaire sur la personne de KOCH Sandra. Le Tribunal estime que si le harcèlement et les traitements dégradants sont bien établis, il subsiste un doute quant au lien entre ceux-ci et les évènements tragiques qui se sont déroulés en 2011 et 2012. Ce doute est lié à la fragilité psychologique de KOCH Sandra.
Pour mémoire, cette dernière, agent de quartier au sein de la zone de police de Hesbaye, a tué sa fille et tenté de tuer son fils, le 11 novembre 2011, avant de mettre fin à ses jours, un an plus tard, à la prison de Lantin. Lors de ses interrogatoires, elle a affirmé avoir été harcelée par ses supérieurs.