En 1957, l’abattoir de Waremme ne répond plus aux exigences de la loi. Sous la menace de fermeture, la commune est tenue de construire de nouvelles installations pour 1960.
Un projet a été dressé et un terrain a été acquis rue de la Costale.
En 1957, l’abattoir de Waremme ne répond plus aux exigences de la loi. Sous la menace de fermeture, la commune est tenue de construire de nouvelles installations pour 1960.
Un projet a été dressé et un terrain a été acquis rue de la Costale.
En 1963, le tracé de la frontière linguistique est définitivement fixé en Belgique. Corswarem et 14 autres localités rejoignent la Province de Liège.
Le 5 septembre 1807, la Loi des Finances de l’Empire impose un registre cadastral pour l’ensemble des parcelles de Hesbaye.
En 1841, une loi invite les communes belges à « assurer une bonne viabilité de leurs chemins ».
Le 15 septembre 1819, GUILLAUME 1er signe une loi qui stipule, qu’à partir du 1er janvier 1823, le néerlandais deviendra la seule langue administrative, judiciaire, financière et militaire dans la partie flamande du pays.
Cette loi linguistique provoque le mécontentement des « provinces belges », dont l’attachement à la langue française a été renforcé par 20 ans d’occupation française.
Le 13 juillet 1815, un nouvelle « Loi Fondamentale » établit un gouvernement monarchique pour la Hollande et la Belgique.
En 1802, une loi française (du 1er Floréal de l’An X) délègue au Conseil Municipal le choix du local et du maître d’école.
Dans la région de Waremme, cette loi va se heurter à la résistance passive des habitants et à l’opposition du clergé.
Le 6 juin 1802, jour de la Pentecôte, le culte catholique est rétabli en France, en Belgique et dans la région de Waremme. Les églises sont rouvertes et les prêtres proscrits sont restaurés dans leurs fonctions.
Le 17 février 1800, une réforme administrative est votée en France. Désormais, chacun des 9 départements « belges » est administré par un préfet, nommé par le pouvoir central.
A l’échelon inférieur: