Anniversaire du Traité belgo-italien sur le charbon (Blégny – Belgique – Italie)

En juin 2016, des festivités commémorent les 70 ans du Traité belgo-italien sur le charbon.

La Belgique se prépare à la guerre

Le 26 août 1939, le Moniteur Belge publie l’arrêté de mobilisation de la phase C, qui concerne les unités de la 1ère Réserve.

Pétards et feux d’artifice interdits (Waremme)

Le 19 décembre 2005, la ville de Waremme adopte un règlement général de police interdisant les tirs de pétards et les feux d’artifice, sur la voie publique et dans les propriétés privées.

La Bériche à Oleye

L’église Saint-Denis d’Oleye est construite sur un promontoire surnommé « la Bériche ». Ce promontoire servait autrefois de lieu de rassemblement; on y criait les avis officiels, avant de les placarder. le mot « bériche » trouve peut-être son origine dans le mot allemand ‘bericht », qui signifie « avis ».

En face de ce lieu se trouvait la maison du sonneur.

Le Travail Obligatoire, en Allemagne

Le 6 mars 1942, un décret de l’Occupant institue le travail obligatoire en Allemagne, pour les hommes qui ne peuvent justifier d’une occupation régulière.

Georges Doyen veut lutter contre la fraude (Waremme)

Le 24 juin 1940, afin de lutter contre la fraude, le commissaire d’arrondissement de Waremme, DOYEN Georges, prend un arrêté qui impose une autorisation motivée pour tout transport de céréales, sous peine de sanctions sévères, dont la confiscation des marchandises.

Joseph Schlusmans, démis de ses fonctions (Waremme)

Dans le courant de l’été 1940, SCHLUSMANS Joseph est démis de ses fonctions d’échevin de Waremme, par les autorités allemandes, au motif « d’abandon de responsabilités ». Dans ce cas, la loi prévoit que c’est le doyen d’âge du Conseil Communal qui doit occuper les fonctions laissées vacantes, en l’occurrence le catholique CLAES Désiré.

Exposition sur Joseph Wauters et Edmond Leburton (Waremme)

Le 16 septembre 2015, le Comité Joseph et Arthur Wauters organise le vernissage d’une exposition de photos et de documents consacrés à l’action de WAUTERS Joseph et LEBURTON Edmond, pour développer la législation sociale et la Sécurité Sociale.

Cette exposition est présentée dans les locaux du Métropole, au n° 20 de l’avenue Reine Astrid, avec également une entrée au n° 7 de la rue Emile Hallet.

L’exposition est organisée en collaboration avec:

  • l’Union Socialiste Communale (USC)
  • les Jeunes Socialistes
  • l’Amicale des Pensionnés

Les ordres et congrégations religieux sont supprimés (Waremme – Belgique – France)

Le 1er septembre 1796 (15 fructidor de l’An IV), une loi française ordonne la fermeture des maisons ou établissements religieux, couvents, monastères, abbayes et prieurés; supprime tous les ordres et congrégations réguliers des deux sexes, en Belgique, et confisque leurs biens au profit de la République.

Cette loi accorde:

  • aux religieux, un bon de 15.000 francs
  • aux religieuses, un bon de 10.000 francs
  • aux frères laïcs, un bon de 5.000 francs
  • aux soeurs converses, un bon de 3.334 francs

Ces bons ne peuvent être employés qu’en acquisition de biens nationaux.

Les religieux doivent sortir de leur couvent dans les 20 jours après la réception de leur bon et quitter en même temps le costume religieux.

A Waremme:

  • au couvent des Sépulchrines: 12 religieuses et 2 soeurs accepteront le bon;
  • au couvent des Récollets: 11 religieux et 6 frères accepteront le bon.

Le Législateur prévoit une exception à cette suppression pour les maisons religieuses qui ont pour objet l’éducation publique ou le soulagement des malades et qui tiennent réellement des écoles ou des salles de malades.

La direction des domaines nommera des commissaires pour faire l’inventaire des biens et meubles des couvents supprimés et préparer leur vente publique.

 

Note:

Le bon que le gouvernement présente à chaque religieux fera l’objet d’une vive controverse. Il s’agit de savoir s’il est permis de l’accepter. Les uns soutiennent qu’en l’acceptant, on approuve la loi de suppression et on coopère à son exécution; qu’en rachetant les biens de son couvent avec ce bon, on viole son voeu de pauvreté. Les autres répliquent qu’en acceptant le bon, on accepte simplement une partie de ce qui a été injustement enlevé au couvent et qu’en rachetant au moyen de ce bon les biens de son couvent, on ne fait que racheter son propre bien. La plupart des religieux et religieuses du département de l’Ourte croient que l’acceptation du bon est licite.