René Gelaesen, hospitalisé (Waremme – Momalle)

Le 10 mai 1940, lors du déclenchement du conflit, GELAESEN René, de Momalle, est hospitalisé à la clinique Joseph Wauters, située avenue Reine Astrid, à Waremme.

Eli Fraipont, imprimeur (Waremme)

En 1940, l’imprimeur FRAIPONT Eli est voisin de la Clinique Joseph Wauters, avenue Reine Astrid, à Waremme.

Nelly Renard, infirmière (Waremme)

En septembre 1944, RENARD Nelly est infirmière à la clinique Joseph Wauters de Waremme. C’est une petite dame chétive, mais énergique.

Auguste Thysen, blessé (Waremme)

Dans la nuit du 31 août au 1er septembre 1944, le machiniste THYSEN Auguste, blessé lors du déraillement du train « MITROPA », est d’abord transporté à la ferme de DOUCET Jules, rue des Champs à Waremme. Il sera ensuite conduit à la Clinique Joseph Wauters.

Clara Masset, extraite des décombres (Waremme)

Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, WUIPIEDS Emile, dit « Le Poilu », n’est pas chez lui. Il est à Bettincourt. Par contre, sa femme, MASSET Clara, a trouvé refuge dans la cave voisine des RENIER.

Après l’explosion, ses frères MASSET Marcel et MASSET Jules, ROUA Joseph, VANOPPEN Lucien et DEBROUX Georges s’activent pour la sortir des décombres.

Elle est conduite sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Les brancardiers doivent se relayer plusieurs fois, en raison de son obésité.

Le sauvetage de Dédée Joirquin (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.

DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.

D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.

En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.

Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !

Marcel Mottard, emmené à la clinique (Waremme)

Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, MOTTARD Marcel est conduit à la clinique Joseph Wauters, avenue Reine Astrid, par TINLOT Alphonse et deux jeunes filles de la Croix-Rouge.

Le bras de Henri Pâques (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion d’une bombe devant le café « Aux Sports », rue Joseph Wauters à Waremme, BEAUJEAN Emile aide PAQUES Henri à se rendre à la clinique Joseph Wauters, avenue Reine Astrid. Son humérus droit a été sectionné et le bras ne tient plus que par quelques lambeaux de chair.

Le chirurgien EVRARD René, assisté de SERET Jeanne, dite « Madame Jeanne », doit l’amputer.

Edmond Geuquet, employé (Waremme)

En août 1944, GEUQUET Edmond est employé à la Mutuelle « La Justice » et à la clinique Joseph Wauters de Waremme. Il habite avenue des Platanes. Il exploite un potager à la rue d’Oleye.

Joseph Schlusmans et ses fils (Waremme)

En août 1944, SCHLUSMANS Joseph est le directeur administratif de la Clinique Joseph Wauters de Waremme. Il est assisté par ses fils, SCHLUSMANS René et SCHLUSMANS Roger.