Vers 1920, le médecin de Waremme, ANGENOT Joseph, s’est spécialisé en dentisterie. Son cabinet se trouve au n° 38 de la rue Joseph Wauters, à Waremme.
Archives de catégorie : Dentiste
La dépouille de Charly Lambert, au Collège (Waremme)
Le 30 août 1944, la dépouille du dentiste LAMBERT Charly, décédé lors du bombardement de la ville, est ramenée dans la grande salle du Collège Saint-Louis de Waremme.
Fernand Magnée, dentiste (Waremme)
En 1935, le dentiste MAGNEE Fernand exerce rue Gustave Renier à Waremme, dans la maison de l’architecte GONTHIER Richard, dont il a loué une partie du rez-de-chaussée. Le cabinet se trouve à l’arrière et la salle d’attente à l’avant, sur la rue. Il a apposé une plaque en cuivre sur la façade, à droite de la porte d’entrée.
Fernand Magnée et ses patientes, sauvés (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison voisine de l’électricien « PUTZEYS », rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs libèrent le dentiste MAGNEE Fernand, FRERE Marie, MANGON Marie et un soeur Dominicaine, qui s’étaient réfugiés dans la cave de la maison de l’architecte GONTHIER. Les volontaires parviennent à les faire sortir par le soupirail de la façade. L’escalier menant à cette cave est obstrué par une tonne d’éboulis.
Mort de Charly Lambert (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe devant le Café « Aux Sports », rue Joseph Wauters à Waremme, le corps du dentiste LAMBERT Charly est retrouvé dans l’embrasure de la porte qui sépare les deux caves arrières du café. Les seuls signes de blessure sont un petit trou au niveau de la pommette droite et un filet de sang coagulé, qui s’étire sur sa joue. Il était âgé de 26 ans.
Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.
- La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
- Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
- La maison « RENIER » est détruite.
- La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
- Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
- La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.
Le Café « Aux Sports » (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la première bombe à Waremme, un certain nombre d’occupants du Café « Aux Sports » se réfugient dans le cellier du bâtiment:
- DUBOIS Paul, dentiste
- DARBE Paul
- CHABOT Léon
- BEAUDUIN Armand
- GENIQUE Joseph
- LAMBERT Jules
- GRANDJEAN Henri
- LAMBERT Charly
- RAMQUET Jules
- HEYNE Jules
- MOUREAU Jeanne, l’épouse du patron du café HEYNE Léon
- MOUREAU Thérèse, dite « Mamme Tîne »
D’autres restent dans le café:
- JAVAUX Martien
- YANS Arthur
- NOBEN Albert
- LANGE Félix
- PIQUET Georges
- SENY Léon, notaire
- GLADE Joseph, dit « Paille »
- FARCY Alice
- BIERNA Henri
- MASSILLON Emile
- LECLOUX Joseph
- EVRARD Paul
- HEYNE Léon
- PÂQUES Henri
- BRASSINE Fernand
Une table de bridge au Café « Heine » (Waremme)
Le 28 août 1944, les avocats de la rue Gustave Renier à Waremme, LANGE Félix et PIQUET Georges, jouent au bridge au Café « Aux Sports » de la rue Joseph Wauters, avec MASSILLON Emile et le dentiste DUBOIS Paul.
Observent la partie:
- COUNE Adolphe, entrepreneur de travaux public, de la rue Joseph Wauters
- LANGE Félix
- GLADE Joseph, dit « Paille »
Fernand Magnée, au travail (Waremme)
Le 28 août 1944, le dentiste MAGNEE Fernand soigne la commerçante en mercerie FRERE Marie, dans son cabinet de la rue Gustave Renier à Waremme. Deux autres personnes patientent dans la salle d’attente, MANGON Marie et une soeur Dominicaine.
Charly Lambert reconnu Résistant (Waremme – Verviers)
Le 12 mai 1948, une commission chargée d’examiner les dossiers des Résistants, siégeant à Verviers, reconnaît le dentiste de Waremme, LAMBERT Charly, comme « Résistant Armé ».