En 1348, une épidémie d’une virulence inouïe frappe toute l’Europe, la Grande Peste Noire (peste bubonique transmise par la puce et le rat).
Archives de catégorie : Maladie
Carte d’identité pour les invalides de guerre (Belgique)
Le 27 juillet 1949, le Conseil des Ministres décide l’octroi d’une carte d’identité et de priorité aux invalides de la Deuxième Guerre Mondiale (comme c’est déjà le cas pour ceux de la Première Guerre Mondiale). Cette carte est d’une couleur différente.
La maison de cure de Sainte-Ode (Belgique)
Le 20 février 1950, la maison de cure de Sainte-Ode est déclarée « Etablissement d’Utilité Publique ». Elle est créée pour permettre aux anciens prisonniers de guerre et anciens prisonniers politiques, dont l’état de santé l’exige, de faire une cure sous surveillance médicale, soit préventivement soit en convalescence d’une maladie (et notamment après la sortie d’un sana)
Inauguration du Sana Belgica (Belgique – Suisse)
Le 20 mai 1948, le Ministre de la Reconstruction DE MAN inaugure le « Sana Belgica » à Montana, en Suisse, pour soigner les prisonniers de guerre et prisonniers politiques atteints de la tuberculose.
Joseph Smal (Verlaine)
En 1965 et 1967, SMAL Joseph est malade. Il habite Grand-Route à Verlaine. Il est membre de la section de Verlaine de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G).
Mort d’Antoinette Bustin (Limont)
Le 31 mai 1897, BUSTIN Marie-Joseph-Antoinette décède à Limont, à l’âge de 38 ans, des suites d’une longue et pénible maladie. Son mari veuf est DREYE Lambert.
Mort de Lambert Jaymaert (Jeneffe)
Le 20 janvier 1892, JAYMAERT Lambert décède à Jeneffe, à l’âge de 77 ans, après une courte maladie. Il était veuf de DELVAUX Marie-Josèphe.
Mort de Lambert Pâques (Lens-sur-Geer)
Le 23 février 1878, PAQUES Lambert décède à Lens-sur-Geer, à l’âge de 88 ans des suites d’une longue maladie. Sa veuve est STEUKERS Marie. Il était propriétaire.
Catastrophe à Lamine
Vers 1745 (?), une épidémie ravage le village de Lamine. Il n’y a pas une famille qui n’est en deuil.
Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)
Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:
- Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
- Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.