Le 23 février 1878, PAQUES Lambert décède à Lens-sur-Geer, à l’âge de 88 ans des suites d’une longue maladie. Sa veuve est STEUKERS Marie. Il était propriétaire.
Archives de catégorie : Maladie
Catastrophe à Lamine
Vers 1745 (?), une épidémie ravage le village de Lamine. Il n’y a pas une famille qui n’est en deuil.
Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)
Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:
- Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
- Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.
Mathieu-Richard Bormans, coadjuteur (Hodeige)
En 1827, l’abbé BORMANS Mathieu-Richard est nommé coadjuteur du curé de Hodeige, l’abbé ISTA Lambert, très âgé et infirme. Le jour-même de cette nomination, le vieux curé est frappé d’apoplexie et décède. L’abbé BORMANS administrera la paroisse jusqu’à la fin de l’année 1828.
Lambert Ista, coadjuteur (Hodeige)
En février 1789, l’abbé ISTA Lambert est nommé coadjuteur du curé de Hodeige, l’abbé D’OUTREPONT Thomas-André (accablé d’infirmités), avec droit à la succession, à la condition de lui payer une pension annuelle.
Thomas-André d’Outrepont, curé (Hodeige)
En 1788, l’abbé D’OUTREPONT Thomas-André administre la paroisse de Hodeige, d’abord comme desserviteur, puis comme curé, après le décès de son frère, l’abbé D’OUTREPONT Barthélemi-Joseph, décédé dans l’épidémie de peste qui frappe le village. Il exercera cette fonction jusqu’en 1797.
Mort de Barthélemi-Joseph d’Outrepont (Hodeige)
Le 8 novembre 1788, le curé de Hodeige, l’abbé D’OUTREPONT Barthélemi-Joseph, décède de l’épidémie de peste qui frappe le village.
La peste à Hodeige
En 1787 / 1788, la peste (une autre maladie contagieuse ?) sévit à Hodeige. La mortalité est élevée. La « Maladrie » est installée hors du village. On y parque les malades dans des loges en bois et on y enterre les morts. (En dehors de l’enceinte des maisons, sur une éminence de terrain).
Le curé du village, l’abbé D’OUTREPONT Barthélemi-Joseph attrapera la maladie en allant visiter et soigner les malades. Il en décèdera.
Le Jardin des Hirondelles (Waremme)
Le 28 juin 2020, l’ASBL « Waremme en Transition » (WET) lance un appel à la population pour l’aider à entretenir le « Jardin des Hirondelles », jardin communautaire, où la végétation a pris le dessus durant le confinement imposé par la lutte contre l’épidémie de coronavirus.
Vaccination contre la polio (Remicourt)
En 1963, à Remicourt, les habitants de 3 mois à 40 ans sont vaccinés contre la poliomyélite. Pour cela, des honoraires de 3 x 300 francs sont accordés au docteur PIROTTE.
Pour leur concours à l’opération, reçoivent également:
- Monsieur LEUNEN, 840 francs
- BOLLY Louis, 356 francs
- LOGEN José, 962 francs