En 1989, FECHIR Philippe décède en quelques semaines d’une terrible maladie. Il est âgé de 36 ans. Il s’est occupé du club de karaté de Waremme pendant 10 ans.
Archives de catégorie : Maladie
Jean-François Boux, médecin (Waremme – Liège)
En 1811, le docteur en médecine de Waremme, BOUX Jean-François, est nommé 2ème médecin suppléant de l’arrondissement de Liège pour les épidémies.
Démission de Daniel Noël (Waremme)
Le 30 juin 2009, NOEL Daniel démissionne, pour raison de santé, de ses fonctions d’administrateur de la S.A. « Ets Noël, concessionnaire VW, dont le siège est situé au n° 183 de la Chaussée Romaine à Waremme.
Dépistage du cancer (Waremme)
En octobre 1985, l’Administration Communale de Waremme décide d’ouvrir prochainement un centre fixe de dépistage du cancer, dans les anciens locaux du dispensaire antituberculeux, rue Ernest Malvoz.
Mort de René Descartes (France – Suède)
Mort de Werner Heisenberg (Allemagne)
Mode de vie en Hesbaye au début du 19ème siècle
Entre 1806 et 1813, le Français THOMASSIN Louis-François rédige Le « Mémoire Statistique ». Il est chef de la division des finances à la Préfecture du Département de l’Ourthe.
Il décrit un peuple très attaché au catholicisme et aux figures ecclésiastiques qui l’incarnent; mais aussi un peuple peu instruit et revendicatif, friand de procès.
Il trace une ligne de partage entre Flamands et Wallons, mais surtout entre classes sociales. Les rares fermiers, propriétaires et locataires, exercent un réel pouvoir sur les nombreux ouvriers agricoles et manoeuvres, qu’ils peuvent congédier à discrétion et qui nourrissent dès lors à leur endroit une rancune tenace.
THOMASSIN observe, par ailleurs, un paradoxe: bien que vivant sur le sol le plus productif du département, le Hesbignon se nourrit très mal, préférant exporter le fruit de son travail et s’alimenter de pain de seigle mal cuit, de lard et de pommes de terre. Seuls les plus aisés dérogent à cette règle.
Il note la présence de débits de boissons dans chaque village mais l’absence presque totale d’auberges, sauf sur la route de Liège à Bruxelles et à Waremme même.
De ce portrait, peu flatteur, on peut encore épingler deux traits significatifs:
- l’importante consommation d’alcool (de bière et, surtout près de la Meuse, d’eau de vie de grains) qui ne contribue guère à apaiser les esprits;
- une conception très utilitariste des priorités. THOMASSIN écrit, en effet, que le fermier et le cultivateur de Hesbaye se déterminent difficilement à la plus légère des dépenses pour faire administrer des secours à sa femme et à ses enfants lorsqu’ils sont malades. Par contre, ils prodiguent l’argent dès qu’il s’agit de procurer des remèdes pour leurs chevaux, leurs vaches, leurs moutons, …
Le poste hollandais d’Oreye est attaqué
Dans la nuit du 22 au 23 septembre 1830, le poste, installé dans la campagne d’Oreye par des Hollandais venus de Maastricht pour couper les voies de communications et empêcher que des renforts liégeois arrivent à Bruxelles, composé d’infanterie d’infanterie et de cavalerie est attaqué par surprise par un détachement de révolutionnaires liégeois, notamment une douzaine de cuirassiers commandés par le Major MATHOT et par LUCAS Alexandre-Joseph et un détachement est commandé par CHARLIER, dit « Jambe de Bois », ancien artilleur de NAPOLEON. Un détachement, commandé par WASSEIGE Jean-Joseph, de 1.000 hommes a quitté Liège avec 2 pièces d’artillerie, par le Faubourg Sainte-Marguerite, avant de rejoindre une autre colonne, composée en partie de membres de la garde communale.
L’engagement a lieu au lieu-dit « Chevenotte », à l’entrée du village de Thys. Une fusillade nourrie éclate. Le capitaine des cuirassiers, WELLE D. se distingue par son intrépidité.Du côté révolutionnaire, le nommé » BATAILLE est frappé à mort. 3 ou 4 autres sont blessés, dont le notaire de Liège, WASSEIGE J. B., atteint d’un coup de feu dans la poitrine, après avoir désarmé une sentinelle hollandaise. Du côté hollandais, les pertes sont plus considérables. Ils sont mis en déroute. Ils abandonnent le village et se retirent précipitamment vers Saint-Trond, en abandonnant des armes, des munitions, des vêtements et plusieurs chevaux. plusieurs d’entre-eux sont faits prisonniers.
Dans un mouvement de panique, Monsieur COCHOUL, l’instituteur de Momalle, tombe dans le Geer. Il refroidira et perdra la vie peu après.
Une partie des volontaires liégeois rentre à Liège vers 8 heures du matin. D’autres, avec CHARLIER, dit « Jambe de Bois » installé sur l’affut d’un canon, poursuivent vers la Capitale, pour porter secours aux Bruxellois, rassemblés dans le Parc de Bruxelles; contribuer ainsi à la libération de la Belgique du joug hollandais et conquérir l’indépendance.
Waremme lutte contre le choléra
En août 1866, le Collège de Waremme prend des mesures contre l’épidémie de choléra qui frappe la ville:
- blanchissage des maisons
- distribution de paille et de couvertures pour literie aux indigents
- distribution de vin et de viande aux indigents invalides et malades
- aspersion à volonté d’eau phéniquée et de chlorure de chaux dans la maison des indigents, dans les canaux, les rigoles et les lieux insalubres de la commune
- nettoyage des mares d’eau stagnantes et des rigoles
- déplacement des tas de fumiers de la voie publique et de la cour des habitations
Waremme doit faire face au choléra
Le 26 août 1866, le Conseil Communal de Waremme autorise le Collège à prendre toutes les mesures utiles pour prévenir l’extension de l’épidémie de choléra, qui sévit dans la ville, et pour en atténuer les effets.

