En 1954, la S.A. « Comptoir Commercial » est installée au n° 2 de la place Ernest Rongvaux, à Waremme (en face de la gare).
Elle fournit, articles et appareils d’ordre médical et sanitaire, aux Mutualités et Assistances Publiques:
Fin des années 50, la famille PROESMAN de Momalle, qui y exploite déjà une siroperie, tente de se diversifier en créant l’entreprise « Continental Pharma », spécialisée dans la fabrication de pénicilline. Sans succès.
albert alexander
Le 12 février 1941, le policier anglais ALEXANDER Albert reçoit la première injection de penicilline.
En novembre 2013, le personnel du complexe sportif de Waremme reçoit une formation à l’utilisation du défibrillateur externe automatique (DEA), installé à côté de l’accueil du complexe.
En avril 2015, l’entreprise de matériel médical et paramédical « G. Médi-Belgium » exploite un magasin au n° 35 de la Chaussée de Tirlemont, à Latinne.
En août 1944, un dépôt de bandages et de médicaments, destinés aux secouristes de Waremme, est établi chez Mademoiselle DENIS, au n° 22 de la rue Ernest Malvoz. Le matériel médical est entassé dans d’énormes malles en osier.
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe, rue Joseph Wauters, devant le Café « Aux Sports », BERGER Léon est étendu le long du parterre de fleurs qui entoure le Monument aux Morts de 1914 – 1918, de la Place du Roi Albert 1er. Son visage est tourné vers le ciel. Il est immobile, le yeux mi-clos. Une mare de sang se répand sous sa tête. Il respire faiblement.
BRONCKAERS Marcel et VRANKEN Marie-Louise le conduisent chez le docteur HONLET, rue Joseph Wauters. Tout le matériel du médecin étant brisé, il conseille de la transporter à la Clinique Notre-Dame, toute proche.
Le 28 août 1944, après le bombardement de Waremme, LAMBERT Jules, qui s’était pourtant réfugié dans la cave du Café « Aux Sports », rue Joseph Wauters, a reçu un éclat qui lui a profondément entaillé la cuisse. Il saigne abondamment.
L’abbé PIRSON Hadelin lui fait un garrot pour arrêter l’hémorragie, puis applique une compresse sur la plaie. LAMBERT Jules se rend ensuite, péniblement, vers la clinique Notre-Dame, rue Joseph Wauters.
En novembre 2015, BARBE Stéphanie et RODRIGUEZ Gary ouvrent le magasin « Baromédic », spécialisé dans la vente de matérie médical, au n° 11 de la rue Charles Lejeune à Waremme.
L’établissement est destiné aux médecins, kinés, infirmières, mais aussi aux particuliers.
En 1974, la filiale de la société américaine « Extracorporeal », spécialisée dans la fabrication de reins artificiel, occupe plus de 100 personnes dans le zoning industriel de Waremme.