En 1831, FRAIPONT Philippe-François, notaire à Burdinne, est à nouveau nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Le 20 janvier 1831, RENIER Guillaume et FRAIPONT Philippe sont élus membres du conseil de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, en remplacement de MELARD et WILMOTTE Jean-Baptiste, sortants.
En 1830, FRAIPONT Augustin est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
En 1829, FRAIPONT Ph. François, notaire à Burdinne, est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
En 1828, l’arpenteur HENNIN Henri est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
roi guillaume 1er
Le 5 mai 1828, les Archers de Waremmene adresse une requête au Roi GUILLAUME 1er pour le maintien de l’existence légale de la Confèrie Saint-Sébastien des Archers de Waremme et pour qu’il la rétablisse dans ses droits et usages.
La Révolution Française ayant mis fin à la Principauté de Liège et aux institutions en dépendant, la Confrérie a été officiellement dissoute, mais les habitudes ont survécu.
En 1827, LHOEST Guillaume est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche. La confrérie est composée de 20 membres.
En 1826, STEVENNE Guillaume est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Le 26 janvier 1826, le marguillier FRAIPONT Philippe, l’arpenteur HENNIN Henri et PIRSON Pierre démissionnent du conseil de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme. Ils sont remplacés par FRAIPONT Dieudonné, MELARD et GONTHY Simon.
En 1825, THIRION Henri-Napoléon est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.