Le 20 janvier 1659, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme loue le pré à tirer aux Pères du Couvent des Récollets.
Archives de catégorie : Confrérie des Archers
L’abbé Jean Tassiet est admis dans la confrérie des Archers (Waremme)
En 1657, le prémissaire, vénérable maître TASSIET Jean est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
Waremme concède des biens à la confrérie des archers
Le 6 janvier 1656, par un acte signé devant le notaire BOUX, la ville de Waremme concède des terrains communaux à la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme. Contre l’usage de ces terrains, ainsi que de celui d’un local à l’étage de l’hôtel de ville de Waremme, la Confrérie s’engage à restaurer, en temps opportuns, les toitures de la maison communale et de ses dépendances.
Henri Jossar, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1655, JOSSAR Henri est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Jean-Gisbert Boux, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)
En 1654, BOUX Jean-Gisbert est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
Dominé Macar est admis dans la confrérie des Archers (Waremme)
En 1653, MACAR Dominé est admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
La Confrérie des Archers loue des terrains (Waremme)
Le 20 janvier 1653, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme loue le pré à tirer, le pré de la Vierge Marie et le pré de la Mulle.
Le « Pré à Tirer » (Waremme)
En 1652, la prairie où s’entraînent les archers de la Confrérie Saint-Sébastien de Waremme est appelée « pretia à tirer », pré à tirer.
Gilles Plesserea et Piron Jadoul sont admis dans la confrérie des archers (Waremme)
En 1652, PLESSEREA Gilles et JADOUL Piron sont admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme.
La défense de Waremme se réorganise
Le 1er mars 1595, le Conseil de la ville édicte un règlement : la confrérie Saint-Sébastien des arbalétriers de Waremme ne suffisant pas à défendre la ville, tous les bourgeois sont astreints à prendre les armes et à monter la garde le jour comme la nuit.
Les bourgeois incapables de porter les armes, ainsi que les femmes veuves, sont frappés d’une taxe spéciale pour subvenir aux frais et nécessités des gardes.