Bénédiction d’un monument commémoratif (Oreye)

Le (?) 1945, l’évêque de Liège KERKHOS (?) bénit le monument, érigé à Oreye, à la mémoire des 3 aviateurs français, l’adjudant MOQUELET et les sous-lieutenants MOREL et JACQUET, qui ont perdu la vie lorsque leur bombardier « Leo 45 », touché par la DCA allemande, s’est écrasé au carrefour « Ramkin » à Grandville.

Bivouac américain (Bleret)

En 1944, à la Libération, un bivouac de militaires américains, manutentionnaires de munitions, s’installe à Bleret.

Préparatifs de la bataille de Dammartin

Le 25 (?) août 1325, le châtelain de Waremme, DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, se prépare à la bataille de Dammartin. Il prend un maximum de précautions pour que les coups ne puissent le transpercer: il se recouvre le corps d’une longue cotte de mailles, renforcée de plaques de fer ceignant tous ses membres, et aptes à parer toutes les percussions les plus violentes des piques, pertuisanes, lances et autres engins pointus analogues. Mais quand il veut enfourcher son fidèle destrier « Moreau de Dave », il doit demander l’aide de deux « solides et rudes gaillards ».

A la remarque qui lui est faite que son poids est nettement exagéré, il répond d’une voix tonitruante: « Or ça, qu’on se taise ! Je vous jure par Dieu et Saint-Georges que s’il a fallu deux piquiers pour me hisser sur Moreau de Dave, il en faudra quatre au moins pour me démonter. A la garde de Dieu et de Saint-Georges ! »

Selon la coutume, des gardes de corps sont préposés à maintenir la bride de Moreau de Dave; cet honneur est réservé à DE TROGNEE Robert et DE HEMRICOURT Thomas. Les deux frères du châtelain de Waremme, DE JEHAING (DE GEHAING) Arnould et (?) Libert Butor, se placent à ses côtés.

Bombardement à la Grosse Pierre (Remicourt – Allemagne)

Le 10 mai 1940, vers 6 h., un avion allemand, qui vole en direction de Waremme, parallèlement à la ligne de chemin de fer Liège – Bruxelles, largue une bombe au lieu-dit « Grosse Pierre » à Remicourt et deux autres dans le bois « GERARD ». LANTIN Jean en est le témoin.

Réparation de l’église (Remicourt)

En 1951, le gros-oeuvre du chantier de réparation de l’église de Remicourt, endommagée par une bombe volante allemande « V1 » en 1945, est terminé.

Destructions à Remicourt

En janvier 1945, plusieurs maisons sont endommagées par la chute d’une bombe volante allemande « V1 », notamment celles de:

  • GAUNE Gaston
  • OLIVIER
  • BEERBLOCK

Agrandissement du donjon (Otrange)

Au 17ème siècle, une aile principale en briques et pierres calcaires est ajoutées au donjon en silex d’Otrange. Sa façade, orientée au Nord, est de style Renaissance Mosane. Elle est prolongée par une petite tour défensive munie d’orifices de tir pour les armes à feu. Le donjon est rehaussé de deux niveaux en briques.

Les donjons vulnérables à l’artillerie (Hesbaye)

Dès la fin du 14ème siècle, l’apparition de l’artillerie va bouleverser l’architecture des donjons et châteaux. Les hautes tours et les murailles deviennent particulièrement vulnérables. Aucune place forte de Hesbaye ne s’adapte aux nouvelles armes. Elles perdent donc toute valeur militaire, mais continuent d’offrir une protection dans le cadre des conflits limités des 15ème et 16ème siècles.

Réparation d’immeubles (Crisnée)

En 1949, le conseil communal de Crisnée accepte le plan d’alignement pour les réparations la reconstruction des maisons endommagées par la chute d’une bombe volante V1 allemande, à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.

Ces maisons appartiennent à:

  • SCHOENAERS Lambert
  • RENOTTE Joseph
  • MEUWIS Jules
  • les sœurs LAHAYE