Des armes pour la Résistance (Hodeige)

Le 28 mai 1944, des dizaines de conteneurs remplis d’armes, de munitions et d’explosifs, sont largués sur la « Plaine Salade », près du Tumulus de Hodeige. Ils sont destinés au Groupe de Résistants « Zoro ».

Des armes pour la Résistance (Hodeige)

Le 30 avril 1944, des dizaines de conteneurs remplis d’armes et d’explosifs, destinés à la Résistance, sont largués près du Tumulus de Hodeige.

Un avion s’écrase à Pousset

Le 11 avril 1942, un Messerschmitt Me 110 s’écrase dans la campagne de Pousset. Les deux aviateurs sont tués.

Arthur Derwa, Résistant (Hesbaye – Bergilers – Oreye)

Dès juin 1940, DERWA Arthur, chevillard (marchand de bestiaux) à Bergilers, entre dans la Résistance. En compagnie de ses deux premiers assistants, BASTIN Charles et DOMINICY Jean, tous deux gendarmes à Oreye, il récupère les armes et munitions abandonnées pendant la Campagne des 18 jours et les stocke en lieu sûr, avec la ferme intention de s’en servir un jour.

Arthur est courtaud, robuste commun bon chevillard habitué aux tâches manuelles.

Des « Panzers » à Remicourt

Le dimanche 12 mai 1940, au matin, le 36ème Régiment de « Panzers » traverse Remicourt, en direction de Celles et de Hannut.

Un avion abattu (Grandville)

Le 11 mai 1940, un bombardier français « Léo 45 », décolle de l’aérodrome de Clastres, près de Saint-Quentin, avec quatre membres d’équipage, pour aller bombarder les ponts du Canal Albert (Vroenhoven et Veldwezelt). Vers 18 heures, il touché par l’artillerie antiaérienne allemande, aux environs de Tongres. Il tente de faire demi-tour, mais il perd de l’altitude au-dessus d’Oreye. Deux membres de l’équipage parviennent à sauter en parachute:

(L’adjudant MOQUELET se tuera en tombant près de Grandville. L’opérateur radio, l’adjudant NATTA Maurice, s’en sortira quasi-indemne. Il sera fait prisonnier par les Allemands.)

L’avion vole tellement bas que son train d’atterrissage accroche les caténaires de la ligne de tramway. Il  s’écrase au carrefour « Ramkin », à Grandville, derrière le garage de FILIPPINI Jean.

(Le canonnier, le sous-lieutenant JAQUET périra sur le coup. Le pilote, le sous-lieutenant MOREL René s’en sortira gravement brûlé sur tout le corps. Sorti de l’épave, il sera transporté dans une maison du voisinage, chez GILLES Auguste, et soigné par la fille de la maison, GILLES Nelly, et le Docteur FANIELLE, de Liège, réfugié à Oreye. Il décèdera 2 jours plus tard.)

 

 

ramkin aviateurs français

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Bataille de chars (Oreye)

Le 11 mai 1940, l’avant-garde des régiments de « Panzers » allemands est violemment attaquée, à Oreye, par un détachement du 12ème Régiment Cuirassé de l’armée française. Quatre chars sont détruits.

Des « Panzers » entre Grandville et Oreye

Le 11 mai 1940, les 35ème et 36ème Régiments de « Panzer » atteignent le Geer entre Grandville et Oreye. Ils y passeront la nuit.

Le terrain d’aviation de Jeneffe est attaqué

Le 10 mai 1940, vers 14h30, cinq « Heinkel » allemands attaquent les avions belges qui se trouvent sur le terrain d’aviation de Jeneffe: neuf « Fox-Hispano » de l’escadrille de reconnaissance de Gossoncourt. Moins d’une demi-heure plus tard, onze Messerschmitt Me-109 allemands mitraillent les avions belges. Sept d’entre-eux flambent. Les deux autres sont inutilisables.

Il faut ramasser les armes (Waremme)

Le 13 mai 1940, le bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume, charge le garde-champêtre, VANDEVELDE Charles, dit « Tchâle li Garde », de ramasser les armes et autres objets militaires, retirés aux prisonniers, qui jonchent les rues de la ville et principalement la rue Joseph Wauters. A l’aide d’une charrette à bras, celui-ci les rassemble dans la cour de l’Ecole Moyenne.