Le 22 mars 1944, LEBURTON Albert-Joseph-Isidore, natif d’Oreye, est arrêté par les Allemands. Il est incarcéré à la prison de Huy. Il sera ensuite transféré à Liège, avant d’être déporté à Buchenwald.
Le 22 mai 1944, LEBURTON Albert-Joseph-Isidore, natif d’Oreye, est déporté à Buchenwald.
Le 26 avril 1945, LEBURTON Albert-Joseph-Isidore, natif d’Oreye, qui avait été déporté au camp de concentration de Buchenwald en Allemagne, rentre à Oreye, à une heure du matin. Il est très faible et est atteint d’une tuberculose des os du pied gauche. Il restera 18 mois dans le plâtre, et marchera avec 2 béquilles jusqu’au mois d’août 1949.
Le 26 avril 1945, BONNE François rentre à Oreye, après sa libération des camps de concentration en Allemagne. Il était le chauffeur du directeur de la Sucrerie de Tirlemont (avant la guerre ?).
En 1995, l’ASBL « Belgian Historical Reconstitution Group » (B.H.R.G.), de Remicourt, y organise la première édition de la reconstitution d’un camp américain de 1944.
du 5 au 7 juillet 2019, l’ASBL « Belgian Historical Reconstitution Group » (B.H.R.G.), de Remicourt, y organise la reconstitution d’un camp américain de 1944:
Le (?) 1944, COLETTE Camille, dit « Luc » ou « Le Petit Camille », volontaire au Commando de Résistants « Section Punitive Belge » (SPB), appelé familièrement « Groupe Zoro », dirigé par DERWA Arthur, dit « Arthur », périt au camp de concentration de Buchenwald en Allemagne. Il était originaire de Malmedy.
En 1693, les troupes françaises de LOUIS XIV établissent leur camp près du moulin de Corswarem. Il est implanté sur la ligne de crête qui sépare les bassins de la Meuse et de l’Escaut.
En septembre 1969, l’entreprise « Les Pompes Funèbres de Hesbaye », est installée au n° 32 de la rue de la Porte de Liège à Waremme. Elle est exploitée par CLAES Pierre. Il dispose d’un corbillard de luxe. Il a été prisonnier de guerre au Stalag 17 A.
En 1203, une dissension violente éclate entre de Duc DE LOUVAIN Henri, dit « Le Guerroyeur », et le Comte DE LOOZ Louis, au sujet de l’avouerie de Saint-Trond.
Le Duc commence à ravager les moissons. Le Comte fait appel à l’assistance du Prince-Evêque de Liège, son suzerain. Ce dernier lève des milices et constitue une grande armée commandée par DE SAINT-JACQUES Renier. Il mande au Comte de venir le rejoindre à Waremme avec ses troupes. Les 2 armées se rencontrent au jour fixé et campent à Waremme 8 jours entiers.
L’intervention du Comte de Namur parviendra à réconcilier les belligérants.