Le Prince-Evêque et ses proches capturés (Liège – Tongres)

Le 10 octobre 1458, les émigrés liégeois (bourgeoisie), soutenus par le Roi de France LOUIS XI, envahissent Tongres et s’emparent du Prince-Evêque de Liège, DE BOURBON Louis, qui y séjourne, aux cris de « Vive le Roi de France » et « Mort aux Bourguignons ». DE CORSWAREM Arnould VI, proche du Prince-Evêque, est également fait prisonnier.

Négociations entre la Principauté et les émigrés liégeois

Le 12 septembre 1458, DE CORSWAREM Arnould VI et son frère DE CORSWAREM Walter font partie de la délégation des lignages de la Principauté de Liège, chargée de conclure la Paix avec les émigrés liégeois, soutenus par le Roi de France LOUIS XI.

Attaque des émigrés liégeois (Liège)

Le 9 septembre 1458, les émigrés liégeois, soutenus par le Roi de France LOUIS XI, passent à l’action en Principauté de Liège.

Menace des émigrés liégeois

En septembre 1458, HUMBRECOURT avertit DE CORSWAREM Arnould VI de l’imminence d’une attaque des émigrés liégeois contre la Principauté et l’engage à occuper les passages sur la Meuse.

Arnould VI de Corswarem prend le parti du Prince-Evêque

En 1458, DE CORSWAREM Arnould VI prend parti pour le Prince-Evêque de Liège contre les émigrés liégeois, soudoyés par le Roi de France LOUIS XI.

Garibaldi prisonnier (Italie)

Le 30 (?) août 1862, GARIBALDI est battu, blessé et fait prisonnier à Aspromonte, en Calabre, par le général PALLAVICINI.

La bataille de Vottem

En juillet 1346, les milices révoltées contre le Prince-Evêque de Liège, DE LA MARCK Englebert, remportent la victoire à la bataille de Vottem.

Englebert de la Marck fait appel à Charles de Luxembourg

En 1346, des milices sont en continuelles révoltes contre le Prince-Evêque de Liège, DE LA MARCK Englebert, successeur de DE LA MARCK Adolphe. Il doit faire appel à DE LUXEMBOURG Charles.

La bataille de Dammartin

Le 25 août 1325, dans la plaine de Dammartin, les Waroux sont forts de 350 chevaliers, leurs écuyers et de nombreux fantassins. Ceux-ci sont principalement armés de marteaux en bois dur, à deux têtes (armes redoutables pour désarçonner les cavaliers ennemis).

La lutte est sur le point de s’engager lorsque arrivent des nobles liégeois, dépêchés par le Prince-Evêque de Liège, pour prescrire une nouvelle quarantaine. Mais les adversaires sont déjà trop excités par le combat à venir.

Les chevaliers se font face sur une ligne et ont déjà repéré le rival qu’ils veulent affronter. Le châtelain de Waremme, DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, et Sire DE HERMALLE Henri commencent à s’injurier copieusement, puis se jettent l’un contre l’autre. Une mêlée générale s’en suit. Le Sire DE HERMALLE Henri est occis par DE JEHAING (DE GEHAING) Arnould. Mais sitôt après, lui et son frère Liber Butor tombent, frappés à mort par les CHANTEMERLE, alliés de Waroux.

Lorsque DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, le châtelain de Waremme, se rend compte que ses deux frères ont perdu la vie, il pousse son destrier « Moreau de Dave » dans les rangs ennemis pour y faire un horrible carnage. Le plus puissant allié des Waroux, le Seigneur DE LANGDRIS, perd également la vie.

Une septantaine de chevaliers hesbignons perdent la vie dans cette bataille (65 du côté Waroux et 4 du côté Awans !).

Remarque: DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume est le descendant de DE GENEFFE Beauduin 1er, premier châtelain de Waremme)

Préparatifs de la bataille de Dammartin

Le 25 (?) août 1325, le châtelain de Waremme, DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, se prépare à la bataille de Dammartin. Il prend un maximum de précautions pour que les coups ne puissent le transpercer: il se recouvre le corps d’une longue cotte de mailles, renforcée de plaques de fer ceignant tous ses membres, et aptes à parer toutes les percussions les plus violentes des piques, pertuisanes, lances et autres engins pointus analogues. Mais quand il veut enfourcher son fidèle destrier « Moreau de Dave », il doit demander l’aide de deux « solides et rudes gaillards ».

A la remarque qui lui est faite que son poids est nettement exagéré, il répond d’une voix tonitruante: « Or ça, qu’on se taise ! Je vous jure par Dieu et Saint-Georges que s’il a fallu deux piquiers pour me hisser sur Moreau de Dave, il en faudra quatre au moins pour me démonter. A la garde de Dieu et de Saint-Georges ! »

Selon la coutume, des gardes de corps sont préposés à maintenir la bride de Moreau de Dave; cet honneur est réservé à DE TROGNEE Robert et DE HEMRICOURT Thomas. Les deux frères du châtelain de Waremme, DE JEHAING (DE GEHAING) Arnould et (?) Libert Butor, se placent à ses côtés.