Joseph Noville, patrouilleur (Jeneffe)

Le 7 août 1941, NOVILLE Joseph est désigné agent patrouilleur temporaire à Jeneffe, pour surveiller les récoltes la nuit.

Restauration du monument aux morts (Jeneffe)

En 1924, le monument aux morts de le Première Guerre Mondiale de Jeneffe est restauré.

Les morts de la première guerre (Jeneffe)

Les morts de Jeneffe pendant la Première Guerre Mondiale:

  • BEX N.
  • BORSU J.
  • DENGIS G.
  • DOYEN M.
  • FRANCK F.
  • GILSON F.
  • HANON L.
  • JEROME A.
  • LEKANE P.
  • LIBENS C.
  • MALCHAIR D.
  • MALCHAIR E.
  • MARECHAL J.
  • MASSART J.
  • NOVILLE F.
  • NOVILLE L.
  • PIRON F.
  • PUTZEYS A.
  • RENKIN J.
  • RENKIN P.
  • THONON J.
  • VAN LOUBBECK D.

Banneret

Au Moyen-Âge, lorsqu’un seigneur veut partir en guerre, il convoque le ban (ses vassaux) et s’il le faut l’arrière-ban (tous ceux qui possèdent un sous-fief dans sa seigneurie). Les vassaux ainsi réunis constitue sa « bannière ».

Le seigneur qui jouit du droit de lever ainsi ses vassaux porte de nom de « banneret ».

Clément Pypops en 1970 (Waremme – Bovenistier)

En juillet 1970, PYPOPS Clément est âgé de 56 ans. Il est:

  • échevin de Waremme depuis 1949;
  • ancien combattant 1940 – 1945;
  • porte-drapeau de Bovenistier;
  • contremaître d’usine;
  • sectionnaire des Mutualités Socialistes.

Jules Etienne en 1970 (Waremme)

En juillet 1970, ETIENNE Jules est âgé de 57 ans. Il est:

  • journaliste radiophonique;
  • ancien combattant 1940 – 1945;
  • ancien Résistant;
  • administrateur de « La Hesbaye Laborieuse »;
  • administrateur de l’ASBL « Le Métropole »;
  • fondateur et vice-président de « L’Union des Belges à l’Etranger ».

Edouard Darmont (Waremme)

En juillet 1970, DARMONT Edouard est âgé de 57 ans. Il est:

  • ancien prisonnier de guerre 1940 – 1945
  • invalide de guerre
  • résistant S.R.A.
  • conseiller communal de Waremme depuis 1952
  • président de l’Union Waremmienne
  • administrateur de la « Petite Propriété Terrienne »

La maison de cure de Sainte-Ode (Belgique)

Le 20 février 1950, la maison de cure de Sainte-Ode est déclarée « Etablissement d’Utilité Publique ». Elle est créée pour permettre aux anciens prisonniers de guerre et anciens prisonniers politiques, dont l’état de santé l’exige, de faire une cure sous surveillance médicale, soit préventivement soit en convalescence d’une maladie (et notamment après la sortie d’un sana)

Rapatriement des corps des prisonniers (Belgique – Allemagne)

En juin 1947, la « Commission de Rapatriement » est créée par le Ministère de l’Intérieur, pour le rapatriement des corps de prisonniers de guerre décédés en captivité.