En 1943, l’aide matérielle aux prisonniers et à leur famille par la Fédération Nationale des Prisonniers de Guerre (FNPG) est évaluée à 6 millions de francs.
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Création de la Fédération Nationale des Prisonniers de Guerre (Belgique)
En 1942, la Fédération Nationale des Prisonniers de Guerre (FNPG), créée lors de la Première Guerre Mondiale, se penche sur le sort des captifs de la Deuxième Guerre Mondiale et de leur famille, et crée un service d’entraide:
- des colis sont expédiés dans les camps en Allemagne
- des trousseaux sont fournis aux enfants
- des séjours de vacances leurs sont procurés.
La Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (Belgique)
En 1965, la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (FNAPG) compte environ 85.000 membres. Elle groupe en son sein 20 groupements provinciaux et régionaux, soit 800 sections cantonales et locales, tant en Flandre, qu’en Wallonie et à l’étranger, dont une filiale en France.
Tous les anciens prisonniers de guerre 1914 – 1918 et 1940 – 1945, porteurs de la carte de prisonnier de guerre, peuvent adhérer à la FNAPG (l’adhésion se donne en principe à la section locale)
La Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (Belgique)
Le 13 septembre 1947, la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (FNAPG) est définitivement constituée à Bruxelles, par le transfert de tous les effectifs des 3 grandes associations existantes:
- la Fédération Nationale des Prisonniers de Guerre (FNPG)
- la Fédération Nationale des Combattants Anciens Prisonniers de Guerre (FNCAP)
- l’Union des Prisonniers de Guerre (UPG)
Elle rassemble tous les anciens prisonniers de guerre belges des 2 guerres, 1914 – 1918 et 1940 – 1945.
La Ligue Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (Belgique)
Le 18 janvier 1919, la Ligue Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre est reconstituée à Bruxelles. Elle prendra ensuite le nom de « Fédération Nationale des Militaires Anciens Prisonniers de Guerre », puis de « Fédération Nationale des Prisonniers de Guerre » (FNPG).
Création d’un ligue de prisonniers de guerre (Belgique – Allemagne)
En novembre 1914, une Ligue de Prisonniers de Guerre Belges est fondée au camp de Parchim, en Allemagne.
Mort de Ernest Woot de Trixhe (Les Waleffes)
Le 7 janvier 1941, WOOT DE TRIXHE Ernest-Henri-Joseph décède à Les Waleffes à l’âge de 78 ans. Il était veuf de DE GERLACHE Angélique. Il était natif de Les Waleffes
L’agent d’assurances Théâtre (Otrange)
En 1917, THEATRE V. H. est agent principal de la Compagnie Belge d’Assurances Générales, à Otrange.
(Le directeur de la Compagnie est CAPOUILLET)
La bataille de Dammartin
Le 25 août 1325, dans la plaine de Dammartin, les Waroux sont forts de 350 chevaliers, leurs écuyers et de nombreux fantassins. Ceux-ci sont principalement armés de marteaux en bois dur, à deux têtes (armes redoutables pour désarçonner les cavaliers ennemis).
La lutte est sur le point de s’engager lorsque arrivent des nobles liégeois, dépêchés par le Prince-Evêque de Liège, pour prescrire une nouvelle quarantaine. Mais les adversaires sont déjà trop excités par le combat à venir.
Les chevaliers se font face sur une ligne et ont déjà repéré le rival qu’ils veulent affronter. Le châtelain de Waremme, DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, et Sire DE HERMALLE Henri commencent à s’injurier copieusement, puis se jettent l’un contre l’autre. Une mêlée générale s’en suit. Le Sire DE HERMALLE Henri est occis par DE JEHAING (DE GEHAING) Arnould. Mais sitôt après, lui et son frère Liber Butor tombent, frappés à mort par les CHANTEMERLE, alliés de Waroux.
Lorsque DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, le châtelain de Waremme, se rend compte que ses deux frères ont perdu la vie, il pousse son destrier « Moreau de Dave » dans les rangs ennemis pour y faire un horrible carnage. Le plus puissant allié des Waroux, le Seigneur DE LANGDRIS, perd également la vie.
Une septantaine de chevaliers hesbignons perdent la vie dans cette bataille (65 du côté Waroux et 4 du côté Awans !).
Remarque: DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume est le descendant de DE GENEFFE Beauduin 1er, premier châtelain de Waremme)
Préparatifs de la bataille de Dammartin
Le 25 (?) août 1325, le châtelain de Waremme, DE DAMMARTIN DE JEHAING DE JENEFFE Guillaume, se prépare à la bataille de Dammartin. Il prend un maximum de précautions pour que les coups ne puissent le transpercer: il se recouvre le corps d’une longue cotte de mailles, renforcée de plaques de fer ceignant tous ses membres, et aptes à parer toutes les percussions les plus violentes des piques, pertuisanes, lances et autres engins pointus analogues. Mais quand il veut enfourcher son fidèle destrier « Moreau de Dave », il doit demander l’aide de deux « solides et rudes gaillards ».
A la remarque qui lui est faite que son poids est nettement exagéré, il répond d’une voix tonitruante: « Or ça, qu’on se taise ! Je vous jure par Dieu et Saint-Georges que s’il a fallu deux piquiers pour me hisser sur Moreau de Dave, il en faudra quatre au moins pour me démonter. A la garde de Dieu et de Saint-Georges ! »
Selon la coutume, des gardes de corps sont préposés à maintenir la bride de Moreau de Dave; cet honneur est réservé à DE TROGNEE Robert et DE HEMRICOURT Thomas. Les deux frères du châtelain de Waremme, DE JEHAING (DE GEHAING) Arnould et (?) Libert Butor, se placent à ses côtés.