Constant Bure, coiffeur (Crisnée)

En 1945, BURE Constant, de retour de captivité, installe un salon de coiffure, dans la dernière maison du village, au bout de la « Petite Campagne », à Crisnée.

François Dely, garde-champêtre (Crisnée)

En décembre 1943, DELY François est garde-champêtre à Crisnée.

Réélection de Jules Jacquemotte (Crisnée)

Après la Libération, JACQUEMOTTE Jules, bourgmestre de Crisnée pendant la Deuxième Guerre Mondiale, est réélu au Conseil Communal du village. Il fera également partie de l’ Fabrique d’Eglise de la Paroisse.

L’abbé Coopmans, curé (Crisnée)

En 1918, l’abbé COOPMANS est curé à Crisnée.

Réparation d’immeubles (Crisnée)

En 1949, le conseil communal de Crisnée accepte le plan d’alignement pour les réparations la reconstruction des maisons endommagées par la chute d’une bombe volante V1 allemande, à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale.

Ces maisons appartiennent à:

  • SCHOENAERS Lambert
  • RENOTTE Joseph
  • MEUWIS Jules
  • les sœurs LAHAYE

Subside communal (Crisnée)

Le 8 septembre 1945, le conseil communal de Crisnée, à l’unanimité, vote un subside de 5.000 francs pour la fête qui sera organisée en l’honneur des prisonniers et déportés de la Deuxième Guerre Mondiale.

Le salaire des ouvriers communaux (Crisnée)

En novembre 1944, le conseil communal de Crisnée décide d’allouer un salaire horaire de 5 francs aux travailleurs communaux qui réparent les chemins dégradés par le passage des blindés américains.

Jules Dirick, secrétaire (Crisnée)

Le 16 avril 1943, DIRICK Jules est nommé secrétaire temporaire de la Commission d’Assistance Publique de Crisnée, en remplacement de LAHAYE Georges, prisonnier en Allemagne.

L’habitation attenant à l’école (Crisnée)

Le 28 février 1942, TOMBAL Joseph et sa famille quittent l’habitation attenant à l’école, mise à leur disposition par la commune de Crisnée. Ce logement sera occupé, dorénavant, par BOLLAND Nicolas et son épouse.