En septembre 1984, de nombreuses manifestations sont organisées à Waremme, pour commémorer le 40ème anniversaire de la Libération de la Hesbaye.
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20ème anniversaire de la Libération à waremme
Le 6 septembre 1964, une cérémonie est organisée à Waremme pour célébrer le vingtième anniversaire de la Libération.
Fête à Oleye
Le 21 juillet 1945, un grand cortège est organisé à Oleye pour fêter la Libération. Un des chars, intitulé « Werbestelle » rappelle la menace que les occupants ont fait peser sur le pays, en instaurant le travail obligatoire, avec la déportation en Allemagne de milliers de jeunes gens. Un autre rappelle le sort réservé à ceux qui, dans un dernier sursaut, ont tenté d’échapper aux camps de la mort. Une des attractions du cortège est la reconstitution d’un avion réalisée par trois bricoleurs du village.
Edmond Leburton au Cabinet Van Acker (Waremme – Belgique)
En 1944, à la Libération, LEBURTON Edmond entre comme chargé de mission dans le cabinet VAN ACKER Achille.
Les chars allemands quittent Waremme
Le 7 septembre 1944, vers 11 heures, à la nouvelle de l’avancée rapide des Alliés, le général STRAUBE donne à son quartier général l’ordre de repli. Les Allemands quittent la ferme « GODBILLE » à Hartenge. Le général quitte la ferme dans une imposante limousine, sous la protection d’une escorte de motards.
Libération de Bruxelles
Le 4 septembre 1944, Bruxelles est libérée.
Les Etablissements Doyen paient leur collaboration avec les Allemands (Waremme)
Après la libération de la ville, une partie de la population waremmienne s’acharne sur l’entreprise de machines agricoles « Les Etablissements DOYEN », situés près de la gare. Ces habitants veulent s’en prendre à ceux qui ont collaboré économiquement avec l’occupant. Les dégats sont considérables.
Création du Journal « Le Soir » (Belgique)
Le 8 novembre 1918, à la libération de Bruxelles, STIERNET Hubert collabore au premier numéro du journal « Le Soir ». Il y signe un appel « Au Soldat ».
L’Ecole Moyenne à nouveau fermée (Waremme)
Durant les derniers mois de 1918, l’Ecole Moyenne de l’Etat de Waremme (qui deviendra Athénée Royal) doit à nouveau fermer ses portes. Les locaux sont successivement occupés par des troupes allemandes, par des évacués des régions où se déroulent des opérations militaires, puis par des prisonniers de guerre libérés.