En 1942, LUCAS Félix, de Lamine, travaille à la sucrerie d’Oreye. En plus des rations alimentaires de sucre qu’il reçoit, il dispose d’un certificat de la direction de l’usine qui lui permet d’échapper au Service de Travail Obligatoire (STO) en Allemagne. Il épousera VANDERBEMDEN Irma.
Archives de catégorie : Occupation
Convocations pour le STO (Waremme – Allemagne)
A partir du 1er octobre 1942, les personnes concernées par le Service de Travail Obligatoire (STO), à Waremme, sont convoquées dans les bureaux de l’Office d’embauche allemand , la « Werbestelle ».
Le Service de Travail Obligatoire (Belgique – Allemagne)
Les Allemands veulent inciter les chômeurs à se rendre en Allemagne (Hesbaye)
En 1941, les Allemands tentent d’amadouer les chômeurs esbignons pour qu’ils acceptent de travailler volontairement en Allemagne. Ils leur promettent des mesures sociales et une indemnité de 750 francs (une fortune !).
Plus tard, vu le manque de succès de ce volontariat, les chômeurs seront obligés de partir travailler en Allemagne.
Les conseils communaux suspendus (Belgique – Allemagne)
Le 11 avril 1941, l’activité des conseils communaux est interdite, en Belgique. Ils sont jugés trop peu coopératifs. Le bourgmestre reste seul en place pour représenter les intérêts de la commune et diffuser les directives de l’occupant allemand.
Marie Dodeur (Pousset – Allemagne)
En 1941, DODEUR Marie habite une petite maison, rue de la Vallée à Pousset. La famille doit loger 2 soldats allemands.
Mort d’Edith Cavell (Bruxelles – Grande-Bretagne – Allemagne)
Le cinéma censuré (Belgique – Allemagne)
Le 15 mai 1915, la censure est instaurée en Belgique. Les Allemands y interdisent la projection de films de cinéma en provenance des pays alliés.
Chômeurs réquisitionnés (Lamine -Allemagne)
Le 20 juin 1940, un ordre de la « Kommandantur » de Waremme ordonne au bourgmestre de Lamine, VANDERBEMDEN Constant, de réquisitionner les chômeurs du village, pour procéder au chargement des effets abandonnés à la ferme GENOT par les militaires belges. Les Allemands les considèrent comme « butin de guerre ».
Le pain rationné (Belgique – Allemagne)
Le 6 juin 1940, l’occupant allemand fixe la ration quotidienne de pain à 225 grammes par personne, en Belgique. Cette quantité sera revue dès le lendemain.