Des ersatz remplacent les produits originaux (Waremme)

En 1916, « ersatz », qui signifie produit de substitution, est un mot à la mode. Les ersatz remplacent tout : le savon se fait au moyen de terre glaise, le café de malt, les farines avec de la craie, le beurre est remplacé par des graisses industrielles, les conserves de viande proviennent de « produits » d’une origine indéfinissable, les bottines sont faites avec du linoleum, l’amidon avec du plâtre, …

Les allumettes interdites par les Allemands

Le 18 mars 1916, un décret de VON BISSING interdit l’importation et la vente d’allumettes, à phosphore blanc ou rouge.

Restrictions de savon à Waremme

Le 15 mars 1916, les Allemands imposent des restrictions à la fabrication des savons.

Les Allemands saisissent le ciment (Waremme – Allemagne)

Le 29 février 1916, les Allemands saisissent tous les sacs de ciment à Waremme.

Le beurre se fait rare (Waremme)

Le 4 février 1916, les marchandes de beurre sont de plus en plus rares à Waremme. Celles qui vendent encore le font à 5 francs 50 ou à 6 francs le kilo. Les œufs, quant à eux, se paient 4 francs 80 les 26.

Les Allemands recensent le café, le thé et le cacao (Waremme – Allemagne)

Le 25 janvier 1916, l’occupant demande au bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume, le recensement des provisions de café, de thé et de cacao.

Les Allemands saisissent les oignons (Waremme – Allemagne)

Le 20 décembre 1915, les oignons détenus par les particuliers et les marchands de Waremme sont saisis.

Restriction du commerce des boeufs et des porcs (Waremme – Allemagne)

Le 19 décembre 1915, l’occupant décide une restriction du commerce des bœufs et des porcs.

Les Allemands recensent les possesseurs d’oignons (Waremme – Allemagne)

Le 4 décembre 1915, « Der Zivilkommissar » veut savoir quels sont les particuliers qui, à Waremme, possèdent plus de 20 kilos d’oignons et combien de marchands en détiennent plus de 60 kilos.

La pâtisserie est limitée par les Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 25 novembre 1915, l’occupant fait savoir aux boulangeries, pâtisseries et restaurants, qu’ils ne peuvent fabriquer des « pâtisseries de tout genre » que le mercredi et le samedi.