Mort de Catherine Maquet (Remicourt – France)

Le 23 novembre 1918, une messe d’Obsèques est célébrée en l’église de Remicourt pour le repose de l’âme de MAQUET Catherine, veuve ABRAHAM, réfugiée française d’Escaudoeuvres, décédée à l’âge de 71 ans.

Mort d’Angèle Scalbert (Remicourt – France)

Le 12 novembre 1918, une messe d’Obsèques est célébrée en l’église de Remicourt pour le repose de l’âme de SCALBERT Angèle, réfugiée française de Roubaix, décédée à l’âge de 25 ans.

Des réfugiés français è Remicourt

En (?), durant la Première Guerre Mondiale, Mademoiselle DESSART, de Remicourt, héberge des réfugiés français, notamment:

  • COQUELLE Hortense

Des réfugiés français à Remicourt

En (?), durant la Première Guerre Mondiale, Madame GERARD, de Remicourt, héberge des réfugiés française, notamment:

  • BOUCHARD Ch.
  • BOUCHEZ Léon
  • Madame BOUTERNY
  • FORGET V.

Le boulanger Hennemann stocke du pain (Crisnée)

Le 11 mai 1940, le boulanger HENNEMANN, de Crisnée, stocke du pain dans le corridor de l’école des garçons, pour nourrir les nombreux réfugiés qui fuient l’avancée allemande.

Des civils abattus (Lens-Saint-Servais – Chaudfontaine)

Le 12 mai 1940, vers 6h du matin, SERET Henri et sa fille SERET Jeanne (22 ans), des réfugiés venant de Chaudfontaine, sont abattus à Lens-Saint-Servais, près de la chapelle Saint-Sauveur, par un tankiste allemand. Il fait feu au pistolet du haut de sa tourelle.

L’épouse (et mère), LEMAITRE Mathilde, déclarera leur décès à la Maison Communale de Lens-Saint-Servais.

Réquisition de maisons (Lamine)

Le 27 avril 1917, le conseil communal de Lamine décide de réquisitionner des maisons vides du village, pour héberger les réfugiés qui affluent.

Un centre d’accueil pour réfugiés (Waremme)

En juin 1940, des volontaires mettent en place, au collège Saint-Louis de Waremme, un bureau de renseignements et un centre d’accueil pour les réfugiés qui reviennent de France.

Des réfugiés à l’Institut des Filles de la Croix (Waremme)

En 1917, bon nombre de réfugiés français trouvent asile dans les classes et les dortoirs de l’Institut des Filles de la Croix à Waremme.