Les 23, 24, 25 et 26 septembre 1830, les combats victorieux, des insurgés bruxellois et des volontaires provinciaux sur les troupes royales de GUILLAUME 1er sont appelées les « Journées de septembre 1830 ».
Archives de catégorie : Révolutions, coups d’état
L’existence de la Confrérie des Archers de Waremme est menacée
Le 5 mai 1828, les Archers de Waremmene adresse une requête au Roi GUILLAUME 1er pour le maintien de l’existence légale de la Confèrie Saint-Sébastien des Archers de Waremme et pour qu’il la rétablisse dans ses droits et usages.
La Révolution Française ayant mis fin à la Principauté de Liège et aux institutions en dépendant, la Confrérie a été officiellement dissoute, mais les habitudes ont survécu.
Le coup d’Etat du 18 brumaire (France)
Le 9 novembre 1799, coup d’Etat du 18 brumaire An VIII
La révolte de la Hesbaye brabançonne est matée
Le 5 décembre 1798, 700 des Wallons de la Hesbaye brabançonne sont sabrés par les troupes du général de brigade JARDON.
La Hesbaye brabançonne se soulève
Fin novembre 1798, les Wallons de la Hesbaye brabançonne se soulèvent sous la conduite de DE ROUX-MIROIR Antoine Constantin.
La guerre des Paysans (Belgique)
Entre le 10 et le 20 octobre 1798, éclate une révolte. C’est le début de la « Guerre des Paysans ».
Les Révolutionnaires tentent de rallier les Waremmiens à leur cause
Le 14 octobre 1794, l’administration révolutionnaire de Liège nomme des commissaires chargés de gagner les habitants de la Principauté à la cause de la Révolution. Les commissaires RENSON et ROUCHARD sont envoyés à Waremme.
L’abbé Dangleur condamné à la déportation (Waremme)
En 1793, le prémissaire (prêtre chargé de dire la première messe) et maître d’école de Waremme, l’abbé DANGLEUR Michel, qui occupait cette fonction depuis 1768, est condamné à la déportation par les autorités révolutionnaires, mais laissé en liberté sous surveillance en raison de son âge.
Notre-Dame de Paris change de nom (France)
Mort de Jean-Paul Marat (France)
Le 13 juillet 1793, CORDAY Charlotte poignarde le révolutionnaire MARAT Jean-Paul dans sa baignoire.
Ce samedi, CORDAY Charlotte, jeune aristocrate de la région de Caen, se rend à la maison de MARAT Jean-Paul pour l’assassiner, voyant en lui l’incarnation du mal. Elle entre dans l’immeuble de la rue des Cordeliers, mais au premier étage, elle est arrêtée par EVRARD Simonne, la maîtresse de MARAT, avec laquelle une vive discussion s’engage. Quand MARAT entend que la visiteuse semble avoir amené une liste d’adversaires de la Révolution, il ordonne de la laisser passer.
Selon son habitude, il travaille dans sa baignoire, car cela le soulage d’une maladie de peau. Une grande planche pour écrire repose sur la largeur de la baignoire.
Elle commence à lire les noms de prétendus réactionnaires et MARAT les griffonne nerveusement. CORDAY Charlotte y voit sa chance. Elle sort un poignard, de sous le grand châle qu’elle porte malgré la chaleur de juillet, et le plante dans la poitrine de MARAT, le tuant sur le coup.
Elle sera arrêtée et guillotinée quelques jours plus tard.